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Chine Le monde doit profiter des Jeux olympiques pour exiger des améliorations sur le terrain des droits humains
Le monde doit profiter des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Pékin pour faire pression en faveur d’améliorations dans le domaine des droits humains en Chine, souligne Amnesty International à moins d’un mois de l’ouverture des Jeux. -
Pétition Pékin 2022 : liberté pour cinq champion·ne·s des droits humains
Alors que la Chine s'apprête à accueillir les Jeux olympiques d'hiver, cinq défenseur·euse·s des droits humains sont derrière les barreaux parce qu'iels ont défendu leur droit à la liberté d'expression. Demandez au président chinois Xi Jinping de libérer immédiatement Zhang Zhan, Ilham Tohti, Li Qiaochu, Gao Zhisheng et Rinchen Tsultrim. -
Jeux olympiques de Pékin Une occasion unique d'améliorer la situation des droits humains
Amnesty International appelle les autorités chinoises à abandonner toutes les charges retenues contre des personnes jugées ou détenues uniquement pour avoir exercé leur liberté d’expression, et à les remettre en liberté. Le sort réservé à Zhang Zhan, Ilham Tohti, Li Qiaochu, Gao Zhisheng et Rinchen Tsultrim doit être connu sans délai pour garantir qu’ils ne soient pas soumis à des actes de torture ou d’autres mauvais traitements. -
Libérez les cinq ! Quand défendre la liberté de religion et de culture mène en prison
Rinchen Tsultrim était moine au monastère de Nangshig, dans la préfecture autonome tibétaine d’Aba, dans la province du Sichuan. Après une vague de troubles au Tibet en 2008, il a commencé à exprimer ses opinions sur WeChat et son site web «Scepticisme à l’égard du Tibet». Le gouvernement chinois a tenté de le faire taire, comme il le fait avec toutes les minorités ethniques, culturelles et religieuses. -
Libérez les cinq ! Radié à cause de son engagement pour les marginalisé·e·s
Gao Zhisheng est l’un des avocats spécialisés dans la défense des droits humains les plus respectés de Chine. En 2001, le ministre de la Justice l’a classé parmi les «10 meilleurs avocats du pays» pour son travail bénévole dans des affaires d’intérêt public. Pourtant, fin 2005, le Bureau municipal de la justice de Pékin a annulé son permis d’exercer et suspendu les activités de son cabinet. Aujourd’hui encore, les avocat·e·s chinois·e·s sont souvent réduit·e·s au silence.
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