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Coronavirus et droits humains La censure et la mésinformation aggravent la crise sanitaire
Les attaques des autorités contre la liberté d’expression, associées au flux de mésinformation qui a déferlé sur le monde en cette période de pandémie, ont un impact dévastateur sur la capacité des personnes à avoir accès à des informations exactes pour les aider à gérer cette crise sanitaire, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Rapport annuel 2019: Amériques Restriction drastique du droit de manifester et du droit d’asile
En 2019, des millions de personnes sont descendues dans la rue afin de protester contre des violences, des inégalités, une corruption et une impunité généralisées, ou ont été forcées à quitter leur pays en quête de sécurité. Dans ce contexte, divers États des Amériques ont restreint le droit de manifester et le droit de demander l’asile, faisant preuve d’un mépris flagrant pour les obligations auxquelles ils sont tenus en vertu du droit national et du droit international, a déclaré Amnesty International à l’occasion du lancement de son rapport annuel portant sur la région. -
Bolivie L’indépendance et l’impartialité de la justice doivent être garanties
La pandémie d’impunité pour les violations des droits humains en Bolivie, qu’Amnesty International dénonce depuis des décennies, est directement liée aux problèmes que pose le manque d’indépendance du système judiciaire bolivien et qui sont apparus cette semaine. -
Covid-19 Pour une vaccination transparente et égalitaire en Amérique latine
Les États d'Amérique du Sud et des Caraïbes peuvent vaincre la pandémie de COVID-19 en menant des campagnes de vaccination conformes à dix obligations en matière de droits humains. -
Bolivie Violations des droits humains pendant la crise postélectorale et impunité
Amnesty International a réuni des informations sur les violations des droits humains commises pendant la crise postélectorale en Bolivie, notamment sur la répression des manifestations et l’utilisation excessive et inutile de la force par la police nationale et les forces armées. Dans le rapport qui dénonce ces violations, Amnesty International adresse ses recommandations aux personnes candidates à l’élection présidentielle annoncée pour le 18 octobre.
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