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Des roses en souvenir du massacre de Tiananmen du 4 juin 1989 Des parlementaires suisses exigent que justice soit faite
En portant une rose blanche à la boutonnière ce matin durant la session, près de 80 parlementaires de toutes les fractions ont rappelé la fin sanglante du mouvement démocratique en Chine il y a vingt ans. Durant la nuit du 3 au 4 juin 1989, les autorités chinoises ont donné l’ordre de tirer sur les milliers d’étudiants qui manifestaient pacifiquement sur la place Tiananmen. Les parlementaires suisses, dont notamment Liliane Maury- Pasquier, Didier Burkhalter, Chiara Simoneschi-Cortesi, Brigitta Gadient et Daniel Brélaz, ont montré leur solidarité avec les proches des victimes qui ont l’impossibilité de manifester publiquement. Une carte d’Amnesty International adressée à l’ambassade chinoise dénonce le fait qu’il n’y a pas eu d’enquête sur ces événements et que les défenseurs des droits humains qui réclament une enquête aient été ces derniers jours arrêtés, menacés ou victimes d’intimidations. -
Que justice soit faite 20e anniversaire du massacre de Tiananmen
Dans la nuit du 3 au 4 juin 1989, les autorités chinoises ont donné l’ordre à l’armée de tirer sur des milliers d’étudiantes et d’étudiants qui manifestaient pacifiquement pour plus de démocratie sur la place Tiananmen à Pékin. L’armée chinoise a fait irruption avec des chars et a ainsi mis un terme violent au mouvement démocratique en Chine. -
Israël/Gaza Le Hamas châtie les «collaborateurs»
Une vingtaine d’hommes assassinés, des dizaines d’autres blessés ou torturés: le Hamas mène depuis l’offensive israélienne une campagne de persécution contre ceux qu’il considère comme des «collaborateurs» d’Israël. C’est ce que révèle aujourd’hui Amnesty International, témoignages à l’appui. -
Russie /Tchétchénie La Cour européenne déclare les autorités russes responsables
Dans un arrêt rendu le 29 mai 2008, la Cour européenne des droits de l'homme a jugé les autorités russes responsables de la disparition forcée, en mai 2003, de deux jeunes femmes tchétchènes, Aminat Dougaïeva (15 ans) et Kourbika Zinabdieva. -
Tchétchénie «Nos preuves pour établir la vérité»
Le centre de Grozny a fait peau neuve. Les écoles ont été reconstruites et le gouvernement prorusse de Ramzan Kadyrov se vante de la bonne santé de la république. Mais pour la population civile, tout n’est pas si rose. Bilan avec la défenseuse des droits humains tchétchène Zainap Gaschajewa.
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