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Crise humanitaire à Lampedusa Le reflet de politiques défaillantes
En deux jours, des centaines d’embarcations de fortune sont arrivées sur l’île de Lampedusa, en Italie. Plus de 6 000 personnes étaient présentes à bord. Face à ce nouveau drame, la réponse des autorités italiennes est très insuffisante. Tout comme la solidarité européenne. -
Tunisie Les droits humains en danger deux ans après l’accaparement du pouvoir par Kaïs Saïed
Au cours de la deuxième année qui s’est écoulée depuis l’accaparement du pouvoir par le président Kaïs Saïed, les autorités tunisiennes ont poursuivi sur la voie de la répression. Elles ont emprisonné des dizaines d’opposant·e·s politiques et de détracteurs et détractrices du régime, bafoué l’indépendance du pouvoir judiciaire, supprimé des garanties institutionnelles en matière de droits humains et incité à la discrimination à l’égard des personnes migrantes. -
UE / Tunisie L'Union européenne complice des violations des droits des personnes qui cherchent asile
L’Union européenne (UE) a signé un protocole d’accord au titre duquel, entre autres, elle accepte d’accorder à la Tunisie une aide financière et technique en vue de dissuader les mouvements migratoires en direction de l’Europe. Un accord négocié en toute opacité et qui permet d'augmenter les renvois vers la Tunisie, ainsi que ceux de ressortissants étrangers depuis la Tunisie. -
Action lettre terminée – Tunisie Un député condamné par un tribunal militaire
Yassine Ayari est un député connu pour son franc-parler et un lanceur d'alerte qui a dénoncé plusieurs affaires de corruption en Tunisie. Il a été condamné par un tribunal militaire pour avoir critiqué l’armée dans des publications sur Facebook. Il a entamé une grève de la faim le 7 septembre pour protester contre ses conditions de détention. -
Tunisie Les autorités ne doivent pas recourir à une force inutile et excessive contre les manifestant·e·s
Les forces de sécurité tunisiennes doivent s’abstenir de recourir à une force inutile et excessive pour disperser les manifestant·e·s descendus dans les rues de la capitale et de plusieurs gouvernorats afin de dénoncer la marginalisation, les violences policières, la pauvreté et l’absence d’opportunités en termes d’emploi, a déclaré Amnesty International le 18 janvier 2021.
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