-
Tunisie Les autorités ne doivent pas recourir à une force inutile et excessive contre les manifestant·e·s
Les forces de sécurité tunisiennes doivent s’abstenir de recourir à une force inutile et excessive pour disperser les manifestant·e·s descendus dans les rues de la capitale et de plusieurs gouvernorats afin de dénoncer la marginalisation, les violences policières, la pauvreté et l’absence d’opportunités en termes d’emploi, a déclaré Amnesty International le 18 janvier 2021. -
Tunisie Liberté d'expression menacée par la multiplication des poursuites pénales
Les autorités tunisiennes doivent cesser immédiatement d'exploiter des lois largement dépassées, excessivement vagues et répressives pour poursuivre en justice des personnes n'ayant fait qu'exercer leur droit à la liberté d'expression en ligne, a déclaré Amnesty International dans un rapport détaillé. -
Moyen-Orient et Afrique du Nord: Rapport 2019 Une nouvelle vague de soulèvements massifs se heurte à une répression brutale
C’est avec une détermination qui fait froid dans le dos, que les gouvernements du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord ont brutalement réprimé les manifestations et ont bafoué les droits des centaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue en 2019 pour réclamer plus de justice sociale et des réformes politiques, a déclaré Amnesty International, à l'occasion de la publication de son rapport annuel sur la situation des droits humains dans la région. -
Moyen-Orient/Afrique du Nord L’indifférence du monde favorise les atrocités et l’impunité
L’effrayante complaisance de la communauté internationale à l’égard des violations des droits humains commises en Afrique du Nord et au Moyen-Orient a encouragé les gouvernements à commettre de terribles violations en 2018. -
Tunisie Restrictions arbitraires et abusives à la liberté de déplacement
Les restrictions à la liberté de circulation mises en place par les autorités tunisiennes pour des questions de sécurité sont souvent imposées de façon arbitraire, trop générale et discriminatoire, ce qui constitue une violation des droits fondamentaux. Depuis 2013, le ministère de l'Intérieur tunisien restreint les déplacements de près de 30'000 personnes au titre de la mesure de contrôle frontalier dite «procédure S17». Cette procédure n'est pas rendue publique et elle n'est soumise à aucun contrôle judiciaire complet.
Page 1 sur 15