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Afrique
Les conflits armés se poursuivent actuellement dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, avec de nouvelles formes de violence perpétrées par des acteurs non étatiques qui entraînent des meurtres, des tortures, des enlèvements, des violences sexuelles et des déplacements massifs. Dans de nombreux pays africains, les gouvernements restreignent sévèrement le droit à la liberté d'expression et prennent des mesures contre les professionnel.le.s des médias, les défenseurs et défenseuses des droits humains et les opposants politiques, notamment en relation avec les élections. Mais, partout sur le continent, il existe aussi des mouvements de jeunes, de militant.e.s et de défenseurs et défenseuses des droits humains qui descendent dans la rue pour défendre leurs droits et la démocratie. -
Multinationales: la fin des pratiques scandaleuses? Des affaires emblématiques
La plupart des entreprises helvétiques se comportent de façon responsable. Mais quelques multinationales persistent malheureusement à ne pas respecter les droits humains et l’environnement. Nous voulons mettre un terme à ces pratiques. -
Afrique: rapport annuel 2019 Les conflits armés et la répression favorisent les violations des droits humains
Dans toute l’Afrique subsaharienne, des manifestant·e·s ont bravé les tirs et les coups pour défendre leurs droits face aux conflits et à la répression qui perdurent, a déclaré Amnesty International à l’occasion de la publication de son rapport annuel sur les droits humains dans la région. -
Rapport Peine de mort 2017 Faits et chiffres 2017
Amnesty International a recensé au moins 993 exécutions dans 23 pays en 2017, soit 4% de moins qu'en 2016 (où 1 032 exécutions avaient été enregistrées) et 39% de moins qu'en 2015 (année où l'organisation avait relevé le chiffre le plus élevé depuis 1989: 1634 exécutions). La plupart des exécutions ont eu lieu, par ordre décroissant, en Chine, en Iran, en Arabie saoudite, en Irak et au Pakistan. -
Good News Tchad: Mahadine a été libéré après une campagne mondiale
La libération du cybermilitant et blogueur critique du gouvernement Mahadine à la suite d'une campagne mondiale doit être une première mesure annonçant la fin de la répression des voix dissidentes au Tchad. Amnesty International demande au gouvernement tchadien de mettre un terme à la torture, d’enquêter sur les allégations de torture et de réformer les lois, afin de garantir le droit à la liberté d’expression.
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