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Éthiopie / Érytrée Le massacre commis par les troupes érythréennes au Tigré serait un crime contre l'humanité
Les 28 et 29 novembre 2020, les troupes érythréennes combattant dans l'État éthiopien du Tigré ont systématiquement tué des centaines de civils non armés dans la ville d'Axoum, dans le nord du pays, ouvrant le feu dans les rues et menant des raids de maison en maison dans le cadre d'un massacre qui pourrait constituer un crime contre l'humanité, a alerté Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Suisse Pas de rapatriements forcés des demandeurs d'asile en Éthiopie
Amnesty International s'inquiète des informations faisant état d'un vol de rapatriements forcés à destination de l'Éthiopie. L'organisation des droits humains a documenté la situation sécuritaire tendue et les graves violations des droits humains dans le pays et demande que la Suisse n’effectue aucun renvoi forcé en Éthiopie. -
Éthiopie La protection des civils lors de l'offensive sur Mekele doit être une priorité
Le conflit dans la région éthiopienne du Tigré est au bord d’une escalade meurtrière depuis que le Premier ministre, Abiy Ahmed, a donné 72 heures aux combattants soutenant le Front populaire de libération du Tigré (TPLF) pour se rendre avant que l’armée lance un assaut contre la capitale du Tigré, Mekele. Amnesty International appelle toutes les parties au conflit à donner la priorité à la protection des civils et à permettre l’accès des observateurs des droits humains et des organisations humanitaires à la région. -
Éthiopie De nombreux civils tués dans des massacres perpétrés dans le Tigré
Amnesty International est aujourd’hui en mesure de confirmer que plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de personnes ont été tuées à coups de couteau et de machette dans la nuit du 9 novembre à Mai-Kadra (May Cadera), ville située dans la zone Sud-Ouest de la région du Tigré. -
Afrique
Les conflits armés se poursuivent actuellement dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, avec de nouvelles formes de violence perpétrées par des acteurs non étatiques qui entraînent des meurtres, des tortures, des enlèvements, des violences sexuelles et des déplacements massifs. Dans de nombreux pays africains, les gouvernements restreignent sévèrement le droit à la liberté d'expression et prennent des mesures contre les professionnel.le.s des médias, les défenseurs et défenseuses des droits humains et les opposants politiques, notamment en relation avec les élections. Mais, partout sur le continent, il existe aussi des mouvements de jeunes, de militant.e.s et de défenseurs et défenseuses des droits humains qui descendent dans la rue pour défendre leurs droits et la démocratie.
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