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Pétition USA: Fermer le centre de détention de Guantánamo
19 ans après son ouverture, 40 hommes sont toujours détenus dans le centre de détention de la base militaire américaine de Guantánamo Bay. En 2009 déjà, le vice-président de l’époque Joe Biden a déclaré qu’il voulait fermer Guantánamo. Il est temps qu’il mette maintenant sa promesse en pratique ! -
États-Unis Un nouveau rapport expose les violations des droits humains commises à Guantánamo
Amnesty International publie un nouveau rapport qui expose les violations des droits humains passées et actuelles commises au centre de détention de Guantánamo Bay, alors que les premiers placements en détention ont eu lieu il y a bientôt 20 ans et qu’un nouveau président s’apprête à entrer à la Maison-Blanche. -
Le Parlement met sous toit la législation anti-terroriste Les droits fondamentaux et l’État de droit victimes de dommages collatéraux !
La majorité du Parlement a entériné, lors du vote final, la législation controversée sur la lutte contre le terrorisme et assume incompatibilité avec les droits fondamentaux et les principes de l’État de droit. La Plateforme des ONG suisses pour les droits humains va maintenant suivre d’un œil critique la mise en œuvre de ces lois et s’apprête à défendre juridiquement les droits des personnes concernées. -
Opinion Prévenir le coût démocratique de la politique antiterroriste
800'000 morts et 37 millions de déplacés. C’est le coût de la riposte étasunienne aux attaques du 11 septembre 2001, selon une étude de l’université Brown (USA). Un bilan d’une ampleur inédite depuis la Seconde Guerre mondiale. Et l’étude se base sur des calculs prudents, puisqu’elle s’est limitée à prendre en compte les 8 conflits les plus violents (Syrie, Irak, Afghanistan, Yémen, Somalie, Pakistan, Philippines, Libye) induits par la lutte contre la terreur. -
Suisse «Les lois antiterroristes sapent l'État de droit!»
La Plateforme des ONG suisses pour les droits humains appelle les parlementaires à rejeter les lois antiterroristes controversées en dernière minute. Leur acceptation enverrait un signal dangereux aux États autoritaires, indiquant que même un État de droit comme la Suisse est prêt à porter atteinte aux droits fondamentaux dans la lutte contre le terrorisme. Des experts internationaux et suisses critiquent ces lois.
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