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Action lettres Turquie Des étudiant·e·s font état de mauvais traitements en détention
Des étudiant·e·s arrêté·e·s après une manifestation à Istanbul au début du mois de janvier font état d’actes de torture et d’autres mauvais traitements, témoignant, par exemple, avoir été menotté·e·s dans le dos et frappé·e·s. Des étudiant·e·s LGBTI+ auraient par ailleurs été menacé·e·s de viol et insulté·e·s. Les autorités de poursuite doivent enquêter sur ces allégations et traduire en justice les membres des forces de l'ordre soupçonnés d’être responsables de ces agissements. -
Action lettres États-Unis Trois exécutions dans les deux dernières semaines du mandat de Donald Trump
Trois personnes condamnées en vertu du droit fédéral des États-Unis devaient être exécutées durant les dernières semaines du mandat de Donald Trump. L'une d'entre elles, Lisa Montgomery, a été exécutée le 13 janvier. Les autorités américaines ont repris les exécutions fédérales après une interruption de 17 ans et ont depuis procédé à un nombre d’injections létales sans précédent, à l’encontre de la tendance nationale et mondiale en faveur de l’abolition. -
Action lettres Bangladesh/Myanmar Des réfugié·e·s rohingyas détenu·e·s sur une île reculée
Le 4 décembre 2020, les autorités bangladaises ont réinstallé plus de 1 600 réfugié·e·s rohingyas à Bhashan Char, une île reculée dans le Golfe du Bengale. Quelque 100 000 réfugié·e·s rohingyas risquent d’être transférés de Cox’s Bazar vers cette île éloignée. -
Turquie Trois ans de prison pour avoir participé à la marche des fiertés?
De grandes organisations de défense des droits humains joignent leurs forces pour réclamer l’acquittement de 19 défenseur·e·s des droits humains inculpés d’avoir participé à une marche des fiertés en 2019, à la veille du jugement attendu jeudi 10 décembre 2020. Amnesty soutient les accusé·e·s avec le marathon des lettres de cette année. -
Action lettres Maroc Un journaliste soumis à un harcèlement juridique
Le 29 juillet 2020, le journaliste marocain Omar Radi a été inculpé pour «atteinte à la sécurité intérieure de l’État» et pour «viol». Les autorités marocaines le harcèlent depuis la publication en juin 2020 d’un rapport d’Amnesty International révélant qu’elles l’avaient illégalement espionné au moyen de son téléphone. Omar Radi a dénoncé ouvertement le bilan du gouvernement en matière de droits humains, et il a enquêté sur la corruption des autorités.
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