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Action lettres Bangladesh/Myanmar Des réfugié·e·s rohingyas détenu·e·s sur une île reculée
Le 4 décembre 2020, les autorités bangladaises ont réinstallé plus de 1 600 réfugié·e·s rohingyas à Bhashan Char, une île reculée dans le Golfe du Bengale. Quelque 100 000 réfugié·e·s rohingyas risquent d’être transférés de Cox’s Bazar vers cette île éloignée. -
Turquie Trois ans de prison pour avoir participé à la marche des fiertés?
De grandes organisations de défense des droits humains joignent leurs forces pour réclamer l’acquittement de 19 défenseur·e·s des droits humains inculpés d’avoir participé à une marche des fiertés en 2019, à la veille du jugement attendu jeudi 10 décembre 2020. Amnesty soutient les accusé·e·s avec le marathon des lettres de cette année. -
Action lettres Maroc Un journaliste soumis à un harcèlement juridique
Le 29 juillet 2020, le journaliste marocain Omar Radi a été inculpé pour «atteinte à la sécurité intérieure de l’État» et pour «viol». Les autorités marocaines le harcèlent depuis la publication en juin 2020 d’un rapport d’Amnesty International révélant qu’elles l’avaient illégalement espionné au moyen de son téléphone. Omar Radi a dénoncé ouvertement le bilan du gouvernement en matière de droits humains, et il a enquêté sur la corruption des autorités. -
Action Lettre Égypte Répression contre l'Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR)
Entre le 15 et le 19 novembre 2020, les forces de sécurité égyptiennes ont arrêté Mohamed Basheer, Karim Ennarah et Gasser Abdel-Razek, cadres du personnel de l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), une ONG égyptienne indépendante de défense des droits humains. Ils sont maintenus en détention arbitraire dans l’attente des conclusions d’enquêtes sur des accusations infondées, notamment de «terrorisme», engagées uniquement à titre de représailles pour le travail de défense des droits humains de l’EIPR. -
Action lettres Irak Un avocat toujours porté disparu
Une année s’est écoulée depuis l’enlèvement d’Ali Jaseb par des hommes armés soupçonnés d’appartenir aux Unités de mobilisation populaire. Bien que le Premier ministre ait promis d’enquêter sur le sort réservé à cet homme, l’affaire est au point mort, situation aggravée par les menaces répétées dont sa famille fait l’objet.
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