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Amnesty International lance une action urgente adressée à Eveline Widmer-Schlumpf Un militant yéménite risque la torture en cas de renvoi de Suisse
Le Yéménite Saeed Ali Shamrookh, qui a déposé une demande d’asile en Suisse le 18 février dernier, risque à tout moment d’être renvoyé au Yémen, où il court le risque d’être torturé, en raison de son lien avec un mouvement indépendantiste dans son pays. Il est actuellement détenu à la prison de l’aéroport de Zurich. Amnesty International a alerté son réseau mondial en lançant il y a quelques heures une action urgente adressée à Eveline Widmer-Schlumpf, demandant que Saeed Ali Shamrookh ne soit pas renvoyé de force au Yémen, conformément aux conventions internationales ratifiées par la Suisse. -
Arabie Saoudite, Yémen, Soudan Le mouvement en faveur de la démocratie continue de se répandre
Outre la Tunisie, l’Egypte et la Libye, de nombreux autres pays arabes connaissent des manifestations pour la liberté, la démocratie et les droits humains. -
Yémen Des détenus sont torturés et maintenus en détention arbitraire, puis contraints à l’exil
Au Yémen, les autorités houthies de facto ne doivent pas se servir de manière arbitraire des prisonniers comme de pions sur l’échiquier des négociations politiques, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Nations unies Un groupe d'experts chargé d'enquêter au Yémen
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a adopté une résolution le 29 septembre mandatant un groupe d'experts internationaux pour procéder à l’examen des atteintes aux droits humains commises par toutes les parties au conflit au Yémen. Amnesty International salue cette avancée décisive qui va ouvrir la voie à la justice pour les innombrables victimes. -
ONU Suspendre l’Arabie saoudite du Conseil des droits de l’homme
L’Arabie saoudite a commis des «violations flagrantes et systématiques des droits humains» à l’étranger et sur son territoire et utilisé sa position au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour faire obstacle à la justice après de possibles crimes de guerre, ont déclaré conjointement Amnesty International et Human Rights Watch mercredi 29 juin 2016, en appelant l’Assemblée générale des Nations unies à suspendre ce pays de la plus haute instance mondiale de défense des droits humains.
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