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Rapport 2020/21 d'Amnesty International Résumé régional Asie-Pacifique
Le Covid-19 a exacerbé les problèmes quant à la situation des droits humains dans la région Asie-Pacifique. Cette région a été la première touchée par la pandémie, les premiers cas ayant été enregistrés en décembre 2019 à Wuhan, en Chine. Quand les autorités chinoises ont réprimandé le personnel de santé qui avait tiré la sonnette d’alarme au sujet d’un nouveau virus, il s’agissait d'un cas parmi tant d’autres où un gouvernement utilisait la pandémie comme prétexte pour museler des voix critiques et restreindre indûment le droit à la liberté d’expression. -
Rapport 2020/21 d'Amnesty International Le Covid-19 visibilise les inégalités et les carences
Le Covid-19 a révélé les inégalités, violences et crises politiques qui frappent notre société depuis des années. Ce chapitre introductif apporte un éclairage sur la situation mondiale des droits humains, en 2020. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Amériques
Alors que les Amériques étaient déjà, début 2020, la région présentant les plus grandes disparités, la pandémie de COVID-19 a davantage encore creusé les inégalités. Les populations marginalisées ont figuré parmi les plus durement frappées et l’on s’attendait à une montée en flèche des taux de pauvreté. Les politiques adoptées par les gouvernements pour faire face à cette crise ont eu de profondes répercussions sur les droits humains et, souvent, des conséquences désastreuses pour de très nombreuses personnes. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Afrique
S’il n’était pas interdit d’espérer que 2020 annonce la fin des conflits armés à répétition en Afrique, la poursuite des combats dans plusieurs pays déchirés par la guerre a anéanti toute raison d’être optimiste. La promesse faite en 2013 par les dirigeant·e·s africains, qui s’étaient engagés à « faire taire les armes » à l’horizon 2020, ne s’est pas concrétisée. Les tirs se sont même fait entendre encore plus fort, et ont ôté la vie à des milliers de personnes. -
Qatar - Coupe du monde 2022 La FIFA se doit d'agir
À l'approche des matchs de qualification pour la Coupe du monde de football de 2022 au Qatar, Amnesty International demande à la FIFA d’user de son influence sur les autorités qatari afin d’aider à mettre fin aux abus dont sont victimes des travailleurs et travailleuses migrant∙e∙s. Dans une lettre adressée à Gianni Infantino, président de la FIFA, notre organisation demande à la Fédération de se monter à la hauteur de ses responsabilités, avant le coup d’envoi.
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