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Kenya Le camp de personnes réfugiées de Kakuma n’est toujours pas sûr pour les réfugié·e·x·s LGBTI
Les personnes réfugiées ou demandeuses d’asile qui sont lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres ou intersexes (LGBTI) et qui vivent dans l’un des plus grands camps de personnes réfugiées du Kenya subissent souvent des crimes de haine, des actes de violence, y compris des viols, et d’autres graves atteintes aux droits humains, ont déclaré la Commission nationale des droits humains des gays et lesbiennes (NGLHRC) et Amnesty International dans un rapport conjoint. -
Rapport organisational sur l'Ukraine Principales conclusions
Le communiqué de presse d'Amnesty International du 4 août 2022 sur les violations du droit international humanitaire commises par l'armée ukrainienne publié le 4 août 2022 avait suscité de vives réactions. Amnesty International s’était donc engagée à évaluer le processus qui avait conduit à la publication de ce communiqué, ainsi que son contenu. Le rapport organisationnel sur l'Ukraine comprend les conclusions des expert·e·x·s indépendant·e·x·s mandaté·e·x·s à cette fin. -
Action urgente – Ouganda Le président doit opposer son veto à la loi anti-LGBTQIA+
Le 2 mai, le Parlement ougandais a adopté une proposition de loi qui criminalise les relations sexuelles entre adultes consentants de même sexe et prévoit jusqu'à la peine de mort dans certains cas. Elle pourrait également punir toute action de défense des droits des personnes LGBTQIA+ dans le pays. Le président doit opposer son veto à ce texte et prendre des mesures pour protéger les droits fondamentaux de toutes les personnes concernées. -
La peine de mort en 2022 Faits et chiffres
Amnesty International a enregistré 883 exécutions dans 20 pays en 2022, ce qui représente une augmentation de 53% par rapport aux 579 exécutions recensées en 2021. Ce chiffre est le plus élevé qu'Amnesty ait enregistré au cours des 5 dernières années. -
La peine de mort en 2022 Remontée en flèche du nombre d’exécutions
Le nombre d’exécutions enregistrées en 2022 a atteint son plus haut niveau depuis cinq ans, les principaux pays à l’origine de ce record, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, s’étant livrés à une frénésie meurtrière, observe Amnesty International à l’occasion de la publication de son rapport annuel sur la peine de mort.
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