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Rapport 2020/21 d'Amnesty International Le Covid-19 visibilise les inégalités et les carences
Le Covid-19 a révélé les inégalités, violences et crises politiques qui frappent notre société depuis des années. Ce chapitre introductif apporte un éclairage sur la situation mondiale des droits humains, en 2020. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Amériques
Alors que les Amériques étaient déjà, début 2020, la région présentant les plus grandes disparités, la pandémie de COVID-19 a davantage encore creusé les inégalités. Les populations marginalisées ont figuré parmi les plus durement frappées et l’on s’attendait à une montée en flèche des taux de pauvreté. Les politiques adoptées par les gouvernements pour faire face à cette crise ont eu de profondes répercussions sur les droits humains et, souvent, des conséquences désastreuses pour de très nombreuses personnes. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Afrique
S’il n’était pas interdit d’espérer que 2020 annonce la fin des conflits armés à répétition en Afrique, la poursuite des combats dans plusieurs pays déchirés par la guerre a anéanti toute raison d’être optimiste. La promesse faite en 2013 par les dirigeant·e·s africains, qui s’étaient engagés à « faire taire les armes » à l’horizon 2020, ne s’est pas concrétisée. Les tirs se sont même fait entendre encore plus fort, et ont ôté la vie à des milliers de personnes. -
Nigeria Des crimes de guerre commis par Boko Haram contre les femmes et les filles
Lors de récentes attaques dans le nord-est du Nigeria, les femmes et les filles ont été prises pour cibles par les combattants de Boko Haram qui les ont violées ou soumises à d'autres violences sexuelles, ce qui constitue des crimes de guerre, a révélé Amnesty International dans de nouvelles recherches. -
Nouvelles mesures policières : déclarations en Suisse et à l'étranger Les critiques des experts n’ont pas été entendues
Les mesures policières de lutte contre le terrorisme ont été critiquées en des termes inhabituellement sévères, notamment par des expert·e·s de l'ONU, du Conseil de l'Europe, des droits de l'enfant et même par des professeur·e·s de droit suisses. Mais ces critiques n'ont malheureusement pas été entendues par le législateur. Voici un petit aperçu des prises de positions les plus importantes.
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