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Liban Réfugiés syriens arbitrairement détenus pour soupçon de terrorisme
Les forces de sécurité libanaises ont perpétré des violations choquantes contre des personnes réfugiées en provenance de Syrie détenues, souvent de manière arbitraire, parce que soupçonnées d’infractions liées au terrorisme, dénonce Amnesty International dans un nouveau rapport. Elles ont employé certaines des techniques de torture atroces utilisées dans les prisons syriennes les plus tristement renommées. -
Covid-19 La crise sanitaire s’aggrave dans les prisons
Un nouveau rapport d’Amnesty International démontre que des détenu·e·s du monde entier ont été ignoré·e·s pendant la pandémie de COVID-19. Les prisons ont fait face à des problèmes systémiques pour empêcher la propagation du virus et ont aussi pris des mesures de contrôle ayant entraîné de graves atteintes aux droits humains. Notre organisation demande que les millions de personnes détenues dans des cellules surpeuplées soient incluses dans les plans de vaccination nationaux. -
Action lettres Chine Premier contact avec un ouïghour détenu depuis plusieurs années
Pour la première fois depuis sa disparition en avril 2016, l’homme d’affaires ouïghour Ekpar Asat a pu communiquer avec des membres de sa famille. Amnesty International est gravement inquiète pour la santé et le bien-être de cet homme, déclaré coupable d’«incitation à la haine et à la discrimination ethniques» et condamné à 15 ans d’emprisonnement sans procès connu. -
Égypte: Action lettre pour Ibrahim Ezz el Din Préoccupations pour la santé d'un prisonnier d'opinion
Ibrahim Ezz el Din, est détenu de façon arbitraire depuis juin 2019. Amnesty International le considère comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement en raison de ses activités en faveur des droits humains. La santé d'Ibrahim Ezz el Din s'est détériorée en prison. -
Arabie saoudite Le jugement confirmant la condamnation de Loujain al Hathloul est une injustice flagrante
La décision rendue le 10 mars 2021 par le Tribunal pénal spécial d’Arabie saoudite a confirmé la condamnation de la défenseure des droits des femmes Loujain al Hathloul à l’issue d’un procès manifestement inique. Condamnée en décembre 2020 à cinq ans et huit mois d’emprisonnement, Loujain al Hathloul avait été libérée de prison en février 2021, après près de trois ans passés derrière les barreaux.
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