2018
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Initiative dite «pour l’autodétermination» Protégeons nous-mêmes les droits humains
La campagne sur l’initiative dite «pour l’autodétermination» a soulevé des questions essentielles. Après ce rejet net, examinons certaines questions restées sans réponses, notamment la relation entre démocratie et droits humains et la dialectique entre autodétermination et mondialisation. -
Opinion La solidarité est la preuve de notre humanité
La fin de l’année s’approche et avec elle le moment de tirer des bilans. Sur le front des droits humains, la situation est plus que morose. Syrie, Yémen, Soudan, Birmanie, Venezuela: les crises se succèdent avec des milliers de personnes qui cherchent un refuge devant la violence. Et trop souvent, les États se barricadent contre les réfugiés, allant même jusqu’à construire des murs à leur frontière. -
Opinion Le mépris de la vie humaine
Cela fait deux mois que le navire Aquarius est bloqué dans le port de Marseille et ne peut plus secourir des personnes qui se noient en mer Méditerranée. Tout cela parce que le Panama, mis sous pression par l’Italie, a retiré à l’Aquarius le pavillon qui lui permettait de naviguer. Et parce que les autres États, dont la Suisse, refusent d’assumer leurs responsabilités face à cette grave crise. -
Opinion Une vieille dame qui nous sert toujours de référence
C’était il y a 70 ans. Le 10 décembre 1948, quelques années à peine après la fin de la Seconde Guerre mondiale, au milieu d’une Europe en ruines, les États réunis au sein des Nations unies adoptaient la Déclaration universelle des droits de l’homme. Leur objectif était clair: plus jamais ça! Plus jamais la persécution basée sur la religion ou sur la race, plus jamais d’hommes forts qui s’emparent du pouvoir pour mener une politique de haine et de destruction en désignant un groupe comme bouc émissaire. -
Opinion L’impossible retour en Birmanie des réfugiés rohingyas
C’est comme si rien ne s’était passé, ni meurtres, ni viols, ni maisons brûlées. Comme si les réfugiés rohingyas avaient fui la Birmanie sans aucune raison. Les autorités birmanes et bangladaises ont conclu un accord le mois dernier pour organiser le rapatriement d’une partie des 720'000 personnes qui ont trouvé refuge au Bangladesh depuis août 2017.
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