«Je me rappelle très bien le moment où je me suis inscrit à Amnesty International : Barbezat et moi faisions une émission où on passait en revue l’actualité de l’année écoulée et on avait fait une plaisanterie en lien avec le décès d’Ayrton Senna. On a reçu énormément de lettres d’insultes de téléspectateurs horrifiés. Quand j’ai vu l’énergie que les gens consacraient à écrire des insultes, je me suis dit que plutôt que de leur répondre, j’avais meilleur temps de mettre mon énergie à écrire des lettres pour faire libérer des prisonniers.»
Benjamin Cuche, humoriste