La journaliste burundaise Floriane Irangabiye a bénéficié d’une grâce présidentielle le 14 août 2024 et a été libérée de prison le 16 août. Les militant·e·s d’Amnesty International ont fait campagne sans relâche en faveur de sa libération. S'adressant aux médias tout de suite après sa libération, Floriane Irangabiye a tout particulièrement mentionné le soutien d'Amnesty International, parmi d'autres organisations s’étant mobilisées pour sa libération. © Droits réservés
La journaliste burundaise Floriane Irangabiye a bénéficié d’une grâce présidentielle le 14 août 2024 et a été libérée de prison le 16 août. Les militant·e·s d’Amnesty International ont fait campagne sans relâche en faveur de sa libération. S'adressant aux médias tout de suite après sa libération, Floriane Irangabiye a tout particulièrement mentionné le soutien d'Amnesty International, parmi d'autres organisations s’étant mobilisées pour sa libération. © Droits réservés

Actions urgentes – Good News

«Merci pour vos signatures, merci pour vos actions, merci pour toutes les petites choses que vous avez faites, cela compte vraiment et c’est tellement mieux que de se taire ou de se contenter de désespérer face à l’état du monde. Poursuivez sur votre lancée, je vous en prie, soutenez les militant·e·s, les combattant·e·s, les citoyen·ne·s actifs, partout dans le monde, qui s’efforcent de lutter pour ces valeurs, pour ces valeurs humaines fondamentales (...) ». Jaša Jenull

Grâce aux Actions urgentes lancées, la situation des personnes touchées s’améliore dans un bon tiers.
Les lettres sont également un signe important de solidarité pour les personnes concernées elles-mêmes, ainsi que pour leurs familles et leur entourage.

Ci-dessous, nous laissons la parole aux personnes concernées qui nous ont remerciés pour les campagnes de lettres lancées et qui nous montrons ainsi l'importance de notre solidarité :
(Liste en progression / De haut en bas : les publications les plus récentes en haut)

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Le 7 mars 2024, Daouda Diallo a été libéré et pouvait rentrer chez lui à Ouagadougou. Une fois libéré, il a déclaré:

«Je voudrais remercier Amnesty International et tous ceux qui se sont mobilisés en faveur de ma libération. Ces appels furent une lueur dans la solitude de mon calvaire, me rappelant que je n’étais pas seul. Restons unis dans notre engagement à défendre les principes de justice, d’égalité et de dignité pour tous. Aujourd’hui, je suis ravi d’être chez moi avec ma famille, mes camarades et mes collègues, après avoir passé ces trois mois difficiles, et j’ai hâte de profiter des moments de joie dont nous avons été privés.»

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Action urgente 111/23

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© Droits réservés

«Quand mon avocat m’a annoncé à la prison d’Ofer qu’Amnesty International prévoyait de se mobiliser sur ma situation, cela m’a donné beaucoup de force – j’ai senti que je n’étais pas seul, qu’on ne m’avait pas oublié et que les tentatives d’Israël pour nous faire disparaître derrière les barreaux, pour nous réduire au silence, n’avaient pas vraiment fonctionné.»

Munther Amira, après sa libération dans une déclaration communiquée à l’équipe d’Amnesty International chargée d’Israël et des territoires palestiniens occupés.

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Action urgente 002/24

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© Droits réservés

« (...) Ma libération est le fruit de l'élan incroyable d'individus animés par la justice, qui ont uni leurs forces pour défendre la liberté de la presse et lutter contre l'injustice.
Je tiens à exprimer ma gratitude envers mes avocats, à mes confrères de ACTUALITE.CD, Reuters, et Jeune Afrique. Merci aux journalites de la RDC et du monde entier. Merci aux organisations nationales et internationales dédiées aux droits des journalistes. Merci à RSF, à CPJ et à Amnesty. Merci à (...) toutes les âmes passionnées de liberté qui ont osé s'opposer (...) »

La déclaration complète de Stanis Bujakera ici

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Action urgente 092/23

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© Amnesty Catalunya

«Je tiens à remercier personnellement les plus de 70'000 personnes qui ont agi pour m’aider à faire pression sur les autorités andorranes. Vous faites partie de cette victoire collective et pacifique. Malgré les années difficiles, je me sens chanceuse de marcher à vos côtés. Notre force est dans notre solidarité et dans la défense mutuelle de nos droits.»

Vanessa Mendoza Cortés a parlé à Amnesty International le 8 février et a adressé ce message de remerciement à toutes les personnes qui ont agi en sa faveur.

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Action urgente 015/23

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© Droits réservés

«J’aimerais vous exprimer ma profonde gratitude pour votre soutien et votre mobilisation sans relâche en faveur de ma libération. Votre Action urgente a vraiment joué un rôle énorme pour que j’obtienne ma liberté. Je suis extrêmement touché par votre solidarité.»

Mohamed Ibrahim Osman Bulbul

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Action urgente 094/23

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© Droits réservés

«Merci pour vos signatures, merci pour vos actions, merci pour toutes les petites choses que vous avez faites, cela compte vraiment et c’est tellement mieux que de se taire ou de se contenter de désespérer face à l’état du monde. Poursuivez sur votre lancée, je vous en prie, soutenez les militant·e·s, les combattant·e·s, les citoyen·ne·s actifs, partout dans le monde, qui s’efforcent de lutter pour ces valeurs, pour ces valeurs humaines fondamentales. Et oui, ce sera toujours nécessaire à l’avenir, mais si nous restons connectés, si nous restons actifs, si nous collaborons, au-delà des frontières, ensemble, je pense que nous pouvons rester optimistes, comme aujourd’hui en Slovénie, où nous avons toutes les raisons d’être optimistes. Merci encore, poursuivez votre travail remarquable et rendez-vous dans la rue!»

Avec ces mots - en apprenant l’abandon des procédures intentées contre lui - Jaša Jenull a remercié les sympathisant·e·s et les membres d’Amnesty International qui ont mené des actions en sa faveur en ces termes.

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Action urgente 025/22

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© Droits réservés

«J’aurais dû retourner en prison, car le parquet essayait de m’emprisonner illégalement. Amnesty International est intervenue en urgence, a contacté l’administration pénitentiaire maldivienne pour qu’elle confirme ce que j’avais dit et a écrit au bureau du procureur général et au bureau du procureur de la République. J'adresse mes sincères remerciements aux membres, sympathisants et sympathisantes d’Amnesty International pour leur précieux soutien», a déclaré Mohamed Rusthum Mujuthaba.

Le militant maldivien Mohamed Rusthum Mujuthaba a échappé à une nouvelle incarcération. Le tribunal pénal des Maldives a constaté que le militant avait passé six mois en détention provisoire, durée supérieure à celle de la peine d’emprisonnement prévue par le droit interne. Par conséquent, il n'aura pas à retourner en prison pour purger sa peine.

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Action urgente 051/22

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Chiou Ho-shun a envoyé cette carte postale à Amnesty et a demandé de la partager avec touxtes les sympathisant·e·x·s qui ont travaillé et continuent de travailler sur son cas.
Voici la traduction de son message:

«Chers amis, j'espère que vous allez bien. Merci à tous de m'avoir envoyé vos souhaits, et de toute la chaleur et la force que vous m'avez apportées tout au long de votre chemin. Cela fait 34 ans que j'ai été torturé et maltraité. Maintenant, c'est encore Noël. J'espère que je vivrai pour voir Noël l'année prochaine. Je vous souhaite à tous un joyeux Noël et une bonne année !»
Chiou Ho-shun, Centre de détention de Taipei, 25 décembre 2022


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Action urgente 260/11 bis
Lettre contre l'oubli novembre 2012

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«Je vous écris ces lignes en tant qu'homme libre, après avoir passé deux ans et cinq mois en prison. Pendant tout ce temps, vous avez soutenu ma cause par tous les moyens possibles, pas seulement la mienne, mais aussi celle d'autres prisonniers enfermés à cause de leurs opinions. Je vous remercie tous pour le soutien constant et les actions urgentes menées en faveur de ma libération. Vous avez été notre voix depuis l'intérieur de la prison et je vous invite à poursuivre votre travail honorable et honnête pour la liberté de chaque être humain, et en particulier les prisonniers d'opinion.»

Le 24 avril 2022, les autorités égyptiennes ont libéré le journaliste Mohamed Salah qui était détenu arbitrairement depuis 29 mois sans jugement ni accusation officielle, uniquement pour avoir exercé pacifiquement ses droits humains.

À la suite de sa libération, il a adressé ce message ci-dessus aux membres et sympathisant·e·s d'Amnesty International.


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Action urgente 175/19 bis