Ethiopie
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Éthiopie Meta accusée d’attiser la haine dans le Tigré
Meta, la société mère de Facebook, a contribué à de graves atteintes aux droits humains contre la population tigréenne en Éthiopie. Une situation qui n’est pas sans rappeler l’implication de l’entreprise dans le cadre des messages haineux diffusés contre la communauté rohingya il y a trois ans. -
Éthiopie Crimes de guerre dans le Tigré même après le cessez-le-feu
Les forces de défense érythréennes (FDE) ont commis des crimes de guerre et peut-être des crimes contre l’humanité dans la région du Tigré, juste avant et juste après la signature d’un Accord pour la cessation permanente des hostilités (ACPH) entre le gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire de libération du Tigré (FPLT) en novembre 2022. -
Éthiopie Le Tigré occidental est le théâtre de crimes contre l’humanité
Depuis novembre 2020, les forces de sécurité régionales commettent des violences systématiques et généralisées contre les membres de l’ethnie tigréenne. Une campagne de nettoyage ethnique largement dissimulée par les autorités éthiopiennes. -
Éthiopie / région Amhara Les forces tigréennes assassinent, violent et pillent lors d’attaques contre des civil·e·s
Les combattants affiliés au Front populaire de libération du Tigré (FPLT) ont délibérément tué des dizaines de personnes, violé en réunion des dizaines de femmes et de jeunes filles – parfois âgées de 14 ans seulement – et pillé des biens publics et privés dans deux secteurs de la région Amhara, dans le nord de l’Éthiopie, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Éthiopie L’ouest du Tigré est le théâtre d’une nouvelle vague d’atrocités
Les forces amharas de sécurité sont responsables de la forte augmentation du nombre d’arrestations de masse, de tueries et d’expulsions forcées collectives de membres de l’ethnie tigréenne dans le territoire de l’ouest du Tigré (nord de l’Éthiopie), ont déclaré Amnesty International et Human Rights Watch. -
Éthiopie Conflit au Tigré: viol et esclavage sexuel perpétrés par des soldats et des milices
Des centaines de femmes et de filles ont été violées, torturées et réduites en esclavage sexuel dans le cadre du conflit armé au Tigré. Les crimes de guerre commis par des membres des forces armées éthiopiennes, de l'armée érythréenne et des milices alliées peuvent s'apparenter à des crimes contre l'humanité, écrit Amnesty International dans un rapport publié aujourd’hui. -
Éthiopie La réaction timide du monde face au conflit dans le Tigré alimente les violations depuis six mois
Les dirigeant·e·s d’Afrique et du reste du monde doivent s’exprimer et prendre des mesures de toute urgence, afin d’endiguer la vague de violations des droits humains et du droit international humanitaire commises dans le contexte du conflit armé faisant rage depuis six mois dans la région du Tigré, en Éthiopie. -
Éthiopie / Érytrée Le massacre commis par les troupes érythréennes au Tigré serait un crime contre l'humanité
Les 28 et 29 novembre 2020, les troupes érythréennes combattant dans l'État éthiopien du Tigré ont systématiquement tué des centaines de civils non armés dans la ville d'Axoum, dans le nord du pays, ouvrant le feu dans les rues et menant des raids de maison en maison dans le cadre d'un massacre qui pourrait constituer un crime contre l'humanité, a alerté Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Éthiopie La protection des civils lors de l'offensive sur Mekele doit être une priorité
Le conflit dans la région éthiopienne du Tigré est au bord d’une escalade meurtrière depuis que le Premier ministre, Abiy Ahmed, a donné 72 heures aux combattants soutenant le Front populaire de libération du Tigré (TPLF) pour se rendre avant que l’armée lance un assaut contre la capitale du Tigré, Mekele. Amnesty International appelle toutes les parties au conflit à donner la priorité à la protection des civils et à permettre l’accès des observateurs des droits humains et des organisations humanitaires à la région. -
Éthiopie De nombreux civils tués dans des massacres perpétrés dans le Tigré
Amnesty International est aujourd’hui en mesure de confirmer que plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de personnes ont été tuées à coups de couteau et de machette dans la nuit du 9 novembre à Mai-Kadra (May Cadera), ville située dans la zone Sud-Ouest de la région du Tigré. -
Ethiopie Des personnes tuées et violées lors d'opérations de sécurité
Les forces de sécurité éthiopiennes ont commis de terribles violations des droits humains, réduisant des habitations en cendres, se livrant à des exécutions extrajudiciaires, à des viols, à des arrestations et des détentions arbitraires, parfois de familles entières, en réponse aux attaques menées par des groupes armés et aux violences intercommunautaires dans les régions Oromia et Amhara. -
Éthiopie Le Premier ministre Abiy Ahmed reçoit le prix Nobel de la paix
Suite à l'annonce de l'attribution du prix Nobel de la paix 2019 au Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, le secrétaire général d'Amnesty International, Kumi Naidoo, a déclaré : «Ce prix reconnaît le travail crucial accompli par le gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed, après des décennies de répression généralisée, pour lancer des réformes en matière de droits humains en Éthiopie.» -
Éthiopie La libération d'Eskinder Nega doit marquer le début d'une nouvelle ère de respect des droits humains
Le gouvernement éthiopien a libéré 746 prisonniers. Parmi eux, le journaliste et prisonnier politique Eskinder Nega, pour lequel Amnesty International fait campagne depuis des années. -
Éthiopie: Action lettre terminée pour Eskinder Nega Journaliste toujours en prison
Le journaliste Eskinder Nega a été arrêté en septembre 2011 après avoir critiqué le régime éthiopien dans des articles et réclamé le respect de la liberté d'expression et d'association.Inculpé d'infractions à caractère terroriste, il a été reconnu coupable en juin 2012. Le mois suivant, Eskinder a été condamné à 18 ans de prison. -
Éthiopie La police abat des dizaines de manifestants pacifiques
Au moins 97 personnes ont été tuées et des centaines blessées par les forces de sécurité éthiopiennes, qui ont tiré à balles réelles sur des manifestants pacifiques dans la région d’Oromia et dans des secteurs de la région Amhara les 6 et 7 août 2016, selon des sources crédibles qui se sont entretenues avec Amnesty International. -
Ethiopie: Action lettre pour Eskinder Nega En prison pour ses activités de journaliste
Le journaliste Eskinder Nega a été arrêté en septembre 2011 après avoir critiqué le régime éthiopien dans des articles et réclamé le respect de la liberté d'expression et d'association. Inculpé ... -
Éthiopie Arrestations de personnes critiques à l’égard du gouvernement
Les autorités éthiopiennes resserrent leur étau sur la liberté d’expression en menant une répression de grande ampleur qui a conduit ces deux derniers jours à l’arrestation de nombreuses personnes connues pour leur indépendance, leur voix dissidente ou leur opposition au régime, a déclaré Amnesty International. -
Éthiopie: action lettre pour le Conseil éthiopien des droits humains Entraves à la défense des Droits humains
Doyen des ONG de défense des droits humains en Éthiopie, le Conseil éthiopien des droits humains (EHRCO) voit son action fortement entravée par des dispositions législatives répressives depuis 2009. ... -
Ethiopie Répression de manifestations pacifiques
Selon certaines sources, le gouvernement éthiopien aurait procédé à des arrestations massives de manifestants musulmans lors de la fête de l'Aïd el Fitr. Au cours de manifestations à Kofele, plusieurs personnes auraient même trouvé la mort du fait de la violence excessive utilisée par les forces de l’ordre. -
Action lettre pour Eskinder Nega Un journaliste emprisonné pour trahison et terrorisme
Le journaliste Eskinder Nega a été condamné le 13 juillet 2012 à 18 ans d'emprisonnement pour haute trahison et pour des infractions liées au terrorisme. Il a été arrêté en septembre 2011 après avoir ...
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