2021
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Éthiopie L’ouest du Tigré est le théâtre d’une nouvelle vague d’atrocités
Les forces amharas de sécurité sont responsables de la forte augmentation du nombre d’arrestations de masse, de tueries et d’expulsions forcées collectives de membres de l’ethnie tigréenne dans le territoire de l’ouest du Tigré (nord de l’Éthiopie), ont déclaré Amnesty International et Human Rights Watch. -
Éthiopie Conflit au Tigré: viol et esclavage sexuel perpétrés par des soldats et des milices
Des centaines de femmes et de filles ont été violées, torturées et réduites en esclavage sexuel dans le cadre du conflit armé au Tigré. Les crimes de guerre commis par des membres des forces armées éthiopiennes, de l'armée érythréenne et des milices alliées peuvent s'apparenter à des crimes contre l'humanité, écrit Amnesty International dans un rapport publié aujourd’hui. -
Éthiopie La réaction timide du monde face au conflit dans le Tigré alimente les violations depuis six mois
Les dirigeant·e·s d’Afrique et du reste du monde doivent s’exprimer et prendre des mesures de toute urgence, afin d’endiguer la vague de violations des droits humains et du droit international humanitaire commises dans le contexte du conflit armé faisant rage depuis six mois dans la région du Tigré, en Éthiopie. -
Éthiopie / Érytrée Le massacre commis par les troupes érythréennes au Tigré serait un crime contre l'humanité
Les 28 et 29 novembre 2020, les troupes érythréennes combattant dans l'État éthiopien du Tigré ont systématiquement tué des centaines de civils non armés dans la ville d'Axoum, dans le nord du pays, ouvrant le feu dans les rues et menant des raids de maison en maison dans le cadre d'un massacre qui pourrait constituer un crime contre l'humanité, a alerté Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Suisse Pas de rapatriements forcés des demandeurs d'asile en Éthiopie
Amnesty International s'inquiète des informations faisant état d'un vol de rapatriements forcés à destination de l'Éthiopie. L'organisation des droits humains a documenté la situation sécuritaire tendue et les graves violations des droits humains dans le pays et demande que la Suisse n’effectue aucun renvoi forcé en Éthiopie.