2012
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Nigeria Les habitants d’un bidonville témoignent contre le gouvernement
Les habitants d'un bidonville doivent fournir des éléments de preuve contre les forces de sécurité qui ont tiré sur la foule le 12 octobre 2009. -
Nigeria Plaintes de résidents contre les tirs meurtriers des autorités
Des résidents de Bundu (Port Harcourt) doivent fournir des éléments de prouvant que les autorités ont ouvert le feu dans leur quartier et les présenter devant la justice le 8 février 2012. Les plaignants demandent réparation en 8 points -
Nigeria Le président doit faire cesser les tirs sur la population lors de manifestations
Amnesty International a de nouveau demandé mercredi 11 janvier 2012 à la police nigériane de cesser de tirer sur les manifestants après qu’au moins trois d’entre eux eurent été tués et 25 autres blessés au cours des deux derniers jours. -
Nigeria La police commet, justifie et couvre des homicides illégaux
Décès d'au moins une personne dans l’État de Kwara lors de manifestations contre la hausse du prix du carburant. Les autorités nigérianes doivent immédiatement mettre un terme à l’usage excessif de la force contre des manifestants. -
Nigeria Interdiction des unions entre «personnes du même sexe»
Le projet de loi présenté à l’Assemblée nationale du Nigeria concernant l’interdiction des «mariages de personnes du même sexe» menacerait tous les droits des Nigérians, ont déclaré jeudi 3 novembre Human Rights Watch, Amnesty International et la Commission internationale pour les droits des gays et des lesbiennes (IGLHRC). -
Nigeria Personnes expulsées au profit d'une rénovation urbaine
Le 28 août 2009, la zone d’habitat précaire de Njemanze, à Port Harcourt (État de Rivers), a été démolie dans le cadre du programme de rénovation urbaine de la ville mis en œuvre par les autorités de cet État. -
Nigeria Expulsions forcées à Port Harcourt
Dans la ville portuaire nigériane de Port Harcourt, la construction d’un centre d’affaires et de loisirs met en péril l’espace vital de 200'000 personnes. En août 2009 17'000 personnes d’un des quartiers du front de mer ont été expulsées de force, sans compensation. Amnesty International demande aux autorités locales de faire cesser ces expulsions forcées. -
Résister aux bulldozers
Dans la ville de Port-Harcourt au Nigeria, le front de mer n’évoque pas le sable chaud ni le bruit des vagues, mais plutôt des rues étroites et des maisons animées. Portrait d’un bidonville voué à disparaître pour faire place à un quartier luxueux. -
Nigeria Homicides illégaux imputables aux forces de sécurités nigérianes
Amnesty International et d’éminentes organisations de défense des droits humains au Nigeria condamnent les violations des droits humains perpétrées par les forces de sécurité nigérianes dans l’État de Borno en réaction aux exactions commises par le groupe Boko Haram. Les forces de sécurité ont tué en toute illégalité des dizaines de personnes, et ont aussi agressé brutalement et placé en détention illégale de nombreux habitants. -
Elections au Nigéria La classe politique doit mettre un terme au chaos
Les candidats politiques nigérians doivent modérer leurs partisans afin de mettre un terme aux violences incessantes à la veille des élections générales. -
Nigeria Projet de loi sur les droits humains
Le projet de loi promulgué par le président nigérian Goodluck Jonathan peut aider à lutter contre les atteintes aux droits humains dans le pays. L'annonce a été faite ce week-end que le président Jonathan avait promulgué la Loi portant modification de la Commission nationale des droits humains, qui attendait d'être promulguée depuis six ans. -
Action Lettre: Emmanuel Egbo Un adolescent abattu par la police pendant qu'il jouait
Emmanuel Egbo, 15 ans, a été abattu par la police le 25 septembre 2008 à Enugu, au Nigeria, alors qu’il jouait dans la rue. La police affirme qu’il avait commis un vol à main armée. Cependant, des témoins assurent qu’il n’avait pas d’arme et qu’il jouait avec d’autres jeunes. La famille d’Emmanuel n’a pas pu l’enterrer parce que son corps a disparu de la morgue de l’hôpital. -
Nigeria Plus de 200000 Nigérians en danger d'expulsion
Les autorités nigérianes doivent suspendre les projets de démolitions et d’expulsions dans les zones situées au bord de l’eau à Port-Harcourt, projets qui risquent de jeter à la rue plus de 200 000 personnes, a écrit Amnesty International dans un rapport publié le 28 octobre 2010. -
Nigeria Expulsion repoussée à Port Harcourt
Premier succès pour le mécanisme de réaction rapide aux expulsions forcées. En septembre, grâce à la mobilisation de plusieurs Sections d’Amnesty, l’expulsion de plusieurs milliers de personnes des quartiers du front de mer de Port Harcourt n’a pas eu lieu, alors même que les autorités l’avaient annoncée. -
Port Harcourt - Nigeria Arrêtez les expulsions forcées!
Action en ligne terminée: Des milliers de personnes sont menacées par une expulsion forcée imminente à Port Harcourt. Nous pouvons encore éviter le pire. Soutenez notre action en ligne: Votre signature viendra s'ajouter à celle des habitant.e.s des quartiers menacés et remise par Celestine AkpoBari et des représentant.es des communautés aux Autorités à Abuja lors d'une manifestation le 8 septembre. -
Port Harcourt - Nigeria Des expulsions forcées pour faire place à un projet commercial
Le 20 août, le gouvernement de l’Etat de Rivers annonçait à la radio que de nouvelles démolitions d'habitations se préparaient sur le front de mer de Port Harcourt. Des milliers d’habitant·e·s risquent d’être expulsé·e·s de force à tout moment. Certain·e·s habitent là depuis au moins quinze ans. Aucune alternative de relogement n’a été proposée aux locataires, et le gouvernement n’a pas de plan de relocalisation des résident·e·s suite à leur expulsion. -
Action lettre: Suliamon Olyfemi Travailleur migrant menacé d'exécution
Le Nigérian Suliamon Olyfemi risque toujours d’être exécuté en Arabie saoudite, après avoir été jugé lors d’un procès inique. De très nombreux Africains, dont lui, avaient été arrêtés en septembre ... -
Assemblée générale de la Section suisse d'Amnesty International Pas de renvois forcés sans observateurs indépendants
Réunis en assemblée générale à Fribourg, les membres de la Section suisse d'Amnesty International ont fait part de leur consternation suite au décès survenu lors d'un renvoi forcé et se sont montrés indignés des propos à caractère discriminatoire tenus dans les médias par le directeur de l'Office des migrations (ODM), Alard du Bois-Reymond. Ils ont exigé que l'ODM attende les conclusions de l'enquête sur ce décès avant de reprendre tout vol de renvoi et que des observateurs indépendants puissent ensuite assister aux renvois forcés. Les 200 personnes présentes ont également signé une carte géante de solidarité adressée à Max Göldi et ont demandé aux autorités libyennes sa libération immédiate. -
Nigeria Pétrole, pollution et pauvreté
Dans leur quête effrénée pour l’accès aux sources d’énergie fossile, les entreprises pétrolières présentes au Nigeria ont régulièrement fait fi du respect de l’environnement et des droits humains. Pour la majorité des 30 millions d’habitant·e·s du delta du Niger, les milliards générés par cette exploitation, au lieu d’améliorer leur quotidien, n’ont fait qu’aggraver leur pauvreté. -
Nigeria Des militants brutalisés par la police nigériane
Celestine AkpoBari, un militant nigérian qui avait participé à la caravane d'actions des jeunes à travers la Suisse en octobre 2009, a été frappé par la police nigériane dans la ville de Port Harcourt. Deux autres militants ont subi le même sort. Amnesty International appelle les autorités nigérianes à enquêter sans délai sur ce cas.
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