2014
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Nigéria L’enfer de la torture
Les policiers et les militaires nigérians torturent couramment des hommes, des femmes et des adolescents – parfois âgés de seulement 12 ans – au moyen de diverses méthodes telles que les coups, les blessures par balle et le viol, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport rendu public le 18 septembre 2014. -
Nigeria Les militaires impliqués dans des actes d’une extrême cruauté
Des photos, des vidéos et des témoignages recueillis sur place par Amnesty International fournissent la preuve que des crimes de guerre, dont des exécutions extrajudiciaires sont commis par les militaires dans leur combat contre Boko Haram et d’autres groupes armés dans le nord-est du Nigéria. -
Nigeria: action lettre pour Moses Akatugba Un adolescent torturé et condamné à mort pour vol présumé
Le 27 novembre 2005, Moses Akatugba, lycéen de 16 ans, a pris congé de sa famille et s’en est allé voir sa tante. Ne le voyant pas rentrer à la maison comme convenu, sa mère s’est inquiétée. Pendant ... -
Nigeria Plus d’un millier de victimes civiles depuis le début de l’année
L’augmentation du nombre d’attaques lancées par Boko Haram et des représailles débridées attribuées aux forces nigérianes de sécurité s’est soldée par au moins 1 500 homicides, de civils dans plus de la moitié des cas, dans le nord-est du pays au cours des trois premiers mois de 2014, écrit Amnesty International dans une synthèse rendue publique lundi 31 mars. -
Nigeria Plus de 600 personnes tuées au cours des deux derniers mois
Très inquiète de la multiplication des attaques perpétrées par des hommes armés inconnus contre des civils dans le nord-est du Nigeria, Amnesty International a demandé au gouvernement de prendre des mesures efficaces pour protéger les populations et prévenir de nouvelles atteintes aux droits humains. -
Nigeria La communauté homosexuelle victime d’une véritable chasse aux sorcières
Les autorités nigérianes doivent immédiatement libérer la dizaine de personnes déjà arrêtées en application d'une nouvelle loi qui bafoue plusieurs droits fondamentaux sur la base de l'orientation sexuelle et de l'identité de genre réelles ou présumées, a déclaré Amnesty International.