2021
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Nigeria / Imoleayo Michael Enlevé et maltraité pour avoir protesté contre les violences policières
En octobre 2020, Imoleayo Michael s'est joint à la jeunesse nigérianne qui manifestait contre les violences policières à Abuja sous le slogan de ralliement #EndSARS. Pour cela, il risque maintenant trois ans de prison. -
Le Marathon des lettres fête ses 20 ans
L’édition 2021 du Marathon des lettres qui débute ce 19 novembre marque les 20 ans de cette initiative. Depuis 2001, Amnesty International a recueilli des millions de messages de soutien adressés à des personnes injustement incarcérées ou persécutées, comme la journaliste citoyenne Zhang Zhan, détenue en Chine pour son travail sur l’épidémie de COVID-19 à Wuhan, qui compte parmi les cas marquants de cette édition. -
Nigeria L’inaction face au viol réduit les victimes au silence
Bien que les autorités nigérianes aient décrété l’« état d'urgence » en échos aux violences sexuelles et de genre, le viol reste toujours une problématique sociale de grande ampleur: la plupart des victimes sont privées de justice, les violeurs échappent aux poursuites, et des centaines de cas ne sont pas signalés. Un manque de justice qui s'explique par une corruption généralisée, une stigmatisation et culpabilisation des victimes, écrit Amnesty International dans un rapport diffusé mercredi 17 novembre. -
Nigeria Un an après les manifestations, toujours pas de justice pour les victimes de violences policières
Il y a un an, les forces de sécurité nigérianes, par des actions de répression brutales, mettaient un terme aux manifestations pacifiques du mouvement #EndSARS [#Mettez fin à la SARS - une unité spéciale de la police] à Abuja, à Lagos et ailleurs dans le pays. Depuis lors, personne n’a été traduit en justice pour rendre compte des actes de torture, des violences et des meurtres dont ont été victimes des manifestant·e·s pacifiques, alors que les signalements de violations des droits humains commises par des policiers se poursuivent, dénonce Amnesty International. -
Nigeria: Action lettre terminée pour Jaafar Jaafar Craintes pour la sécurité d’un journaliste et sa famille
Jaafar Jaafar est un journaliste d'investigation qui a découvert la corruption. Il fait l'objet de menaces et d'intimidations en raison de son travail. Il a dû fuir le Nigeria en mai 2021. -
60 ans d'Amnesty International: la justice au cœur 60 ans, 6 victoires
Activistes pacifistes réprimé·e·s, blogueurs et blogueuses torturé·e·s, promulgation de lois discriminatoires : chaque année, des libertés fondamentales sont menacées et des personnes risquent leur vie pour avoir exprimé leur opinion. Mais la mobilisation d’Amnesty International et de ses membres montre que le changement est possible. Retour sur de récentes victoires en faveur des droits humains. -
60 ans d'Amnesty International: la justice au cœur Sur le terrain
L’une est active au Nigeria, l’autre gravite en Europe de l’Est. Un chercheur et une chercheuse pour Amnesty International racontent leur métier, entre espoir et risques. -
Nigeria Sept ans après l’enlèvement de Chibok, l’État ne protège toujours pas les enfants
Au Nigeria, des dizaines de milliers d’enfants sont privés d’éducation parce que les autorités ne protègent toujours pas les écoles, en particulier dans le nord du pays, contre les attaques d’insurgés et d’autres groupes armés. -
Nigeria Des crimes de guerre commis par Boko Haram contre les femmes et les filles
Lors de récentes attaques dans le nord-est du Nigeria, les femmes et les filles ont été prises pour cibles par les combattants de Boko Haram qui les ont violées ou soumises à d'autres violences sexuelles, ce qui constitue des crimes de guerre, a révélé Amnesty International dans de nouvelles recherches. -
Good News Royaume-Uni: Décision historique contre Shell
Une décision historique contraint Shell à répondre des atteintes aux droits humains qu’elle commet au Nigeria. -
Action lettre terminée - Nigeria Un nouveau procès ordonné pour un chanteur condamné a mort
Le 21 janvier, une commission d’appel a ordonné que Yahaya Sharif-Aminu, 22 ans, soit à nouveau jugé. Le chanteur avait été déclaré coupable et condamné à mort par pendaison pour blasphème en août 2020, pour avoir diffusé sur Whatsapp une chanson contenant des paroles jugées insultantes envers le prophète Mahomet. Les charges qui pèsent sur Yahaya Sharif-Aminu doivent être abandonnées et il doit être libéré immédiatement et sans condition.