2023
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Good News Les victoires qui ont marqué 2023
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Découvrez comment Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Angola – Action lettre / Action terminée Une tiktokeuse incarcérée pour avoir critiqué le président
Le 13 août, la tiktokeuse angolaise Ana da Silva Miguel (plus connue sous le nom de Neth Nahara) a été arrêtée à Luanda, la capitale de l’Angola. Le lendemain, elle a été condamnée à six mois de prison pour «outrage à l’État, à ses symboles et à ses organes», parce qu’elle a diffusé une vidéo en live sur TikTok dans laquelle elle critiquait le président. À la suite d’un recours du ministère public le 27 septembre, sa peine de six mois de prison a été portée à deux ans. Depuis son arrestation, Neth Nahara n’a pas pu obtenir ses médicaments quotidiens, malgré son état de santé délicat. Le 3 décembre, elle a été hospitalisée en raison de la dégradation de son état. Sa peine et sa condamnation découlent de l’exercice pacifique de son droit à la liberté d’expression: Neth Nahara doit être libérée immédiatement. -
Éthiopie Meta accusée d’attiser la haine dans le Tigré
Meta, la société mère de Facebook, a contribué à de graves atteintes aux droits humains contre la population tigréenne en Éthiopie. Une situation qui n’est pas sans rappeler l’implication de l’entreprise dans le cadre des messages haineux diffusés contre la communauté rohingya il y a trois ans. -
Action lettre: RDC Le journaliste incarcéré arbitrairement doit être libéré
Le 25 septembre, la haute cour de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), a rejeté la demande de libération sous caution du journaliste Stanis Bujakera. Stanis Bujakera a été arrêté arbitrairement le 8 septembre à l’aéroport de N’djili, à Kinshasa, alors qu’il s’apprêtait à embarquer sur un vol à destination de Lubumbashi. Il a été illégalement maintenu en détention pendant trois jours avant d’être placé en détention provisoire, le 11 septembre. Ses téléphones portables et son ordinateur ont été saisis et fouillés sans mandat. Les autorités de la RDC l’accusent de «propagation de faux bruits» et de «diffusion de fausses informations» en raison d’un article dont il serait selon elles l’auteur. Amnesty International estime que Stanis Bujakera est pris pour cible en raison de son travail de journaliste. Il doit être libéré immédiatement et sans condition. -
Soins à deux vitesses À l'ombre du Covid
Sur le continent africain, le Covid-19 a entraîné des conséquences mitigées. La pandémie a parfois relégué des maladies au second plan, mais elle a également donné lieu à des succès. -
RDC L’extraction industrielle de cobalt et de cuivre entraîne de graves atteintes aux droits humains
En République démocratique du Congo (RDC), l’expansion de mines industrielles de cobalt et de cuivre a entraîné l’expulsion forcée de populations entières et d’autres graves atteintes aux droits humains, notamment des agressions sexuelles, des incendies volontaires et des violences. -
Cameroun: Action lettre pour Dorgelesse Nguessan / Action terminée Cinq ans d’emprisonnement pour avoir participé à une manifestation
Les préoccupations quant à la situation économique du Cameroun ont incitée Dorgelesse Nguessan à participer à un rassemblement le 22 septembre 2020 dans la ville de Douala. C’était sa toute première manifestation. Les forces de sécurité ont arrêté plus de 500 personnes, parmi lesquelles Dorgelesse. -
Éthiopie Crimes de guerre dans le Tigré même après le cessez-le-feu
Les forces de défense érythréennes (FDE) ont commis des crimes de guerre et peut-être des crimes contre l’humanité dans la région du Tigré, juste avant et juste après la signature d’un Accord pour la cessation permanente des hostilités (ACPH) entre le gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire de libération du Tigré (FPLT) en novembre 2022. -
Soudan Généralisation des crimes de guerre contre la population civile
Au Soudan, où le conflit entre les Forces de soutien rapide (RSF) et les Forces armées soudanaises (SAF) fait rage, la population civile subit de plein fouet de nombreux crimes de guerre : ce sont les conclusions d’un nouveau rapport publié par Amnesty International. -
Ghana Un pas important vers la suppression de la peine de mort
Au Ghana, le Parlement a voté le 25 juillet un amendement au code pénal ghanéen qui abolit la peine de mort pour des crimes tels que le meurtre, le génocide, la piraterie et la contrebande. Un vote historique. -
Zimbabwe Élections sous tension: l'opposition criminalisée
Le scrutin prévu le 23 août aura lieu dans un climat de violations systématiques des droits humains et de criminalisation des détracteurs du pouvoir. -
Good News Six mois de victoires pour les droits humains
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Nigeria: Action lettre pour Keren-Happuch Akpagher / Action terminée Justice pour Keren-Happuch Akpagher!
Le 22 juin 2023 a marqué le deuxième anniversaire de la mort de Keren. La police n’a toujours pas mené d’enquête transparente et efficace et personne n’a été traduit en justice. -
Pétition Exploitation du cobalt en RDC : halte aux expulsions forcées à Kolwezi !
La République démocratique du Congo (RDC) fournit la majeure partie du cuivre et du cobalt utilisés dans la fabrication des batteries en lithium-ion, qui font fonctionner nos voitures électriques, nos ordinateurs, nos téléphones portables, etc. Mais la population de la RDC est victime de graves abus, comme les expulsions forcées, les destructions illégales de logements et les violences physiques. Il faut que cela cesse ! Merci de signer notre pétition contre les expulsions forcées à Kolwezi! -
Soudan Prise au piège, la population ne peut pas fuir les combats
L'Égypte, l'Éthiopie, le Tchad, le Soudan du Sud et les Émirat arabes unis refusent l'entrée sur leur territoire à certaines personnes qui demandent l'asile. Amnesty International demande que les pays limitrophes du Soudan lèvent immédiatement les restrictions d’entrée pour celles et ceux qui fuient le conflit dans le pays, et garantissent l’accès à la protection et à la sécurité aux plus de 500 000 personnes qui ont déjà fui les combats. -
Cameroun Le bain de sang dans les régions anglophones doit cesser
Amnesty International publie un nouveau rapport accablant qui expose de façon détaillée les violations des droits humains et les autres crimes relevant du droit national commis de façon généralisée par diverses parties dans les régions anglophones du Cameroun. -
Burundi Même la prison a un prix
Conséquence de la politique répressive du gouvernement du Burundi sur la société civile, les prisons du pays sont engorgées. Y survivre demande de l’organisation, et des poches bien remplies. Reportage dans la prison de Mpimba. -
Droit de manifester Autorisations au compte-goutte
La première est une jeune activiste de Kinshasa, l’autre a plus de vingt ans d’expérience sur le terrain au Sud-Kivu. Mais défendre l’environnement en République démocratique du Congo (RDC) est une tâche ardue. Interview croisée. -
Kenya Le camp de personnes réfugiées de Kakuma n’est toujours pas sûr pour les réfugié·e·x·s LGBTI
Les personnes réfugiées ou demandeuses d’asile qui sont lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres ou intersexes (LGBTI) et qui vivent dans l’un des plus grands camps de personnes réfugiées du Kenya subissent souvent des crimes de haine, des actes de violence, y compris des viols, et d’autres graves atteintes aux droits humains, ont déclaré la Commission nationale des droits humains des gays et lesbiennes (NGLHRC) et Amnesty International dans un rapport conjoint. -
Action urgente – Ouganda / Action terminée Le président doit opposer son veto à la loi anti-LGBTQIA+
Le 2 mai, le Parlement ougandais a adopté une proposition de loi qui criminalise les relations sexuelles entre adultes consentants de même sexe et prévoit jusqu'à la peine de mort dans certains cas. Elle pourrait également punir toute action de défense des droits des personnes LGBTQIA+ dans le pays. Le président doit opposer son veto à ce texte et prendre des mesures pour protéger les droits fondamentaux de toutes les personnes concernées.
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