2013
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Afrique
Les conflits armés se poursuivent actuellement dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, avec de nouvelles formes de violence perpétrées par des acteurs non étatiques qui entraînent des meurtres, des tortures, des enlèvements, des violences sexuelles et des déplacements massifs. Dans de nombreux pays africains, les gouvernements restreignent sévèrement le droit à la liberté d'expression et prennent des mesures contre les professionnel.le.s des médias, les défenseurs et défenseuses des droits humains et les opposants politiques, notamment en relation avec les élections. Mais, partout sur le continent, il existe aussi des mouvements de jeunes, de militant.e.s et de défenseurs et défenseuses des droits humains qui descendent dans la rue pour défendre leurs droits et la démocratie. -
République démocratique du Congo Trouver des solutions pérennes à la situation de crise dans les mines
Ces quatre dernières semaines, un accident mortel et le déploiement de l'armée dans deux grandes mines de cuivre et de cobalt du sud de la République démocratique du Congo (RDC) ont mis en évidence le manque de réglementation du secteur minier et la protection insuffisante des droits humains dans le pays. -
République démocratique du Congo Libération annoncée de 700 prisonniers d’opinion
Le président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi a gracié plusieurs centaines de détenus politiques. Le président contesté tient ainsi – du moins partiellement – sa promesse de libérer tous les prisonniers politiques. Amnesty International l'avait récemment exhorté dans une lettre à une amélioration de la situation des droits humains dans le pays. -
République démocratique du Congo Le président Tshisekedi doit s’engager pour les droits humains
Le 24 février 2019, Félix Tshisekedi a pris la tête de la République Démocratique du Congo. Le nouveau Président doit rapidement prendre des mesures pour améliorer la situation catastrophique des droits humains dans son pays. Amnesty International formule un plan en 10 points. -
Migration «Je ne pouvais pas croiser les bras»
«Comme une feuille emportée par le vent», Emmanuel Mbolela survit six ans sur les routes de l’exil pour fuir les persécutions politiques de son pays natal, la République démocratique du Congo (RDC). Arrivé au Maroc, il y crée l’Association pour les réfugiés congolais au Maroc (Arcom), pour ne plus subir en silence.
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