Malgré l’absence de preuves, Fred et Yves encourent la peine de mort en cas de condamnation.
Leur emprisonnement vise à faire taire un mouvement de jeunesse qui réclame des changements démocratiques dans le pays. Amnesty International les considère comme des prisonniers d’opinion.
Les autorités qualifient ces deux hommes de «terroristes» et de «comploteurs», visiblement dans le but d’intimider les militants et de réprimer les débats démocratiques.
Action lettre terminée