République centrafricaine
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République centrafricaine Une enquête d’Amnesty révèle l’horreur de violences liées au conflit et aux élections
Plusieurs civils ont été tués et d’autres blessés durant la période électorale en République centrafricaine, a déclaré Amnesty International aujourd’hui, appelant les autorités à protéger les civils et diligenter des enquêtes judiciaires indépendantes sur les abus et les violations des droits humains perpétrés par des membres des groupes armés et des forces de sécurité. -
République Centrafricaine Les casques bleus laissent les civils sans protection
Londres / Genève - 14 sécembre 2018. Il faut que l’Organisation des Nations unies (ONU) mène une enquête approfondie sur la réaction de ses casques bleus lors une récente attaque qui a tué jusqu’à 100 civil·e·s dans un camp de personnes déplacées en République centrafricaine, a déclaré Amnesty International dans un nouveau rapport. -
République centrafricaine Auteurs de crimes de guerre toujours en liberté
Des personnes soupçonnées d’avoir commis des crimes de guerre, notamment des homicides et des viols, pendant le conflit en République centrafricaine, échappent aux enquêtes et aux arrestations et, dans certains cas, côtoient leurs victimes au quotidien. -
République centrafricaine Le maintien de la paix doit être renforcé afin de prévenir un regain de violence
Un risque de violences meurtrières et d’instabilité continuera à peser sur les civils en République centrafricaine à moins que les graves lacunes de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) ne soient comblées de toute urgence, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
République centrafricaine Des musulmans sans protection sont contraints à abandonner leur religion
Certains musulmans revenus dans des zones ayant fait l’objet d’un nettoyage ethnique dans l’ouest de la République centrafricaine ont été contraints à abandonner leur religion, écrit Amnesty International dans un rapport rendu public vendredi 31 juillet 2015. -
République centrafricaine Pas d’immunité pour les responsables de violences
Le forum de réconciliation nationale en République centrafricaine s’est achevé le 13 mai. Il conclut que toute demande d'immunité sera rejetée et les personnes soupçonnées de crimes au regard du droit international et d'atteintes aux droits humains seront traduites en justice. -
République centrafricaine L'absence d'enquêtes favorise de nouvelles atrocités et la peur
L'incapacité des autorités de la République centrafricaine et des Nations unies à mener une enquête effective sur les crimes de guerre perpétue le climat de violence et de peur qui règne dans ce pays, a déclaré Amnesty International dans un rapport publié le 11 décembre 2014, République centrafricaine. L'impunité alimente la violence . -
République centrafricaine La mission de l’ONU ne suffit pas à protéger les civils pris pour cible
La crédibilité des Nations unies est en jeu face à la multiplication des attaques contre les civils La mission de maintien de la paix des Nations unies en République centrafricaine doit prendre des mesures courageuses afin de protéger les civils face aux attaques croissantes motivées par l'intolérance religieuse dans le centre du pays, a déclaré Amnesty International après s'être rendue dans certaines des zones les plus touchées. -
République centrafricaine Amnesty appelle au déploiement complet de la mission de maintien de la paix
La nouvelle mission de maintien de la paix des Nations unies en République centrafricaine doit être déployée de toute urgence dans son intégralité pour être en mesure d’assurer la protection d’une population civile exposée à de graves atteintes aux droits humains, a déclaré Amnesty International lundi 15 septembre 2014, date où la mission commencera à exécuter son mandat. -
République centrafricaine Les auteurs d'atrocités ne doivent pas échapper à la justice
Amnesty International a rendu publics, jeudi 10 juillet 2014, les noms de certaines des personnes qui sont soupçonnées d'avoir ordonné ou commis les atrocités qui se déroulent actuellement en République centrafricaine, et a lancé un appel à la justice pour la population de ce pays meurtri. -
République centrafricaine Nouvelle flambée de violence dans les rues de la capitale Bangui
L’Union européenne (UE) doit immédiatement mettre en œuvre son projet de déployer des troupes de maintien de la paix afin de protéger les civils en République centrafricaine, en proie à une nouvelle vague de violences, a déclaré Amnesty International mercredi 26 mars. -
République centrafricaine Examen périodique universel: lueur d'espoir d'une résolution de la crise
Amnesty International se félicite de la présence de la délégation de la République centrafricaine vendredi 21 mars pour l’adoption de son Examen périodique universel (EPU) et reconnaît là un signe d’adhésion au système international de protection des droits humains malgré la crise qui perdure dans le pays. -
République centrafricaine Vers une mission de maintien de la paix
Amnesty International demande aux membres du Conseil de sécurité de l'ONU d’arrêter la spirale de la violence. Le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon doit prochainement présenter son rapport ... -
République centrafricaine Nettoyage ethnique et violences interreligieuses
Les soldats de la force internationale de maintien de la paix ne parviennent pas à empêcher le nettoyage ethnique des civils musulmans dans l’ouest de la République centrafricaine, écrit Amnesty ... -
République centrafricaine Déployer le reste des forces de maintien de la paix
La réunion des chefs d'État de l'Union africaine (AU) s’ouvrant mercredi 29 janvier 2014 doit aborder l’amplification de la crise en République centrafricaine. Il faut que les dirigeants africains veillent à ce que les forces de maintien de la paix soient rapidement déployées dans leur intégralité, afin de protéger les civils risquant de faire l’objet d’attaques à tout moment dans certaines zones rurales. -
République centrafricaine Des civils en danger imminent
Les civils chrétiens et musulmans qui vivent à Baoro et Bossembélé, dans le nord-ouest de la République centrafricaine, risquent de subir d’un moment à l’autre une attaque en raison de la présence des milices anti-balaka dans des villes où les forces internationales de maintien de la paix sont absentes, selon une délégation d’Amnesty International qui s’est rendue dans la région dimanche 26 janvier. -
République centrafricaine Crimes de guerre et crimes contre l'humanité à Bangui
Des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité sont en train d'être commis en République centrafricaine, a déclaré Amnesty International, qui termine une mission de deux semaines dans le pays. L'organisation demande le déploiement rapide d'une force de maintien de la paix de l’ONU dotée d’un mandat fort la chargeant clairement de protéger les civils et disposant des moyens nécessaires pour assurer efficacement cette mission. Éviter un bain de sang -
République centrafricaine Violences interconfessionnelles: une symétrie effrayante
La brutalité des attaques est la même, qu’elles soient le fait des milices chrétiennes ou musulmanes. Et les membres de chacune des deux communautés dénonceront les crimes de l’autre en disant qu’ils n’auront agi qu’en état de légitime défense. -
République centrafricaine Regain de violences entre les communautés
La haine flamboie dans leurs yeux tandis qu'ils crachent des paroles cinglantes: «Djotodia [Michel Djotodia, le président de la République centrafricaine] doit partir!» () -
République centrafricaine Bangui, ville assiégée par la violence et la peur
En surface, tout est silencieux à Bangui, la toute petite capitale de la République centrafricaine. Étrangement silencieux. Mais, au-delà de ce silence, on commence à entendre des récits sur ce qui se passe.
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