2012
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Action lettre: Égypte Les soudanais·e·s se trouvant en égypte risquent d’être arrêtés et expulsés
Depuis septembre 2023, les autorités égyptiennes ont procédé à des arrestations massives de réfugié·e·s soudanais, entrés ou restés dans le pays de manière irrégulière. Les personnes arrêtées ont été privées de liberté pendant des périodes allant de quelques jours à six semaines, dans des conditions de détention cruelles et inhumaines, avant d’être expulsées de force vers le Soudan sans évaluation individuelle des risques à leur retour, ni possibilité de demander l’asile ou de contester les décisions d’expulsion. -
Good News Les victoires qui ont marqué 2023
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Découvrez comment Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Soudan Généralisation des crimes de guerre contre la population civile
Au Soudan, où le conflit entre les Forces de soutien rapide (RSF) et les Forces armées soudanaises (SAF) fait rage, la population civile subit de plein fouet de nombreux crimes de guerre : ce sont les conclusions d’un nouveau rapport publié par Amnesty International. -
Soudan Prise au piège, la population ne peut pas fuir les combats
L'Égypte, l'Éthiopie, le Tchad, le Soudan du Sud et les Émirat arabes unis refusent l'entrée sur leur territoire à certaines personnes qui demandent l'asile. Amnesty International demande que les pays limitrophes du Soudan lèvent immédiatement les restrictions d’entrée pour celles et ceux qui fuient le conflit dans le pays, et garantissent l’accès à la protection et à la sécurité aux plus de 500 000 personnes qui ont déjà fui les combats. -
Soudan La nouvelle escalade du conflit exacerbe les souffrances endurées depuis 20 ans par la population civile du Darfour
À l’heure où l’escalade de la violence entre les forces armées soudanaises et les Forces d’appui rapide s’étend à tout le Soudan, les civil·e·s du Darfour continuent de souffrir de l’incapacité des autorités à assurer leur sécurité, ainsi qu’à rendre justice et à garantir l’obligation de rendre des comptes pour les crimes de guerre et autres violations commis depuis le début du conflit dans cette région il y a 20 ans. -
Soudan Assurer la protection des civils alors que le nombre de décès augmente
La protection des civils doit constituer une priorité dans un contexte de violence. -
Bonne nouvelle - Soudan Abdul Aziz Muhamat est libre
Abdul Aziz Muhamat, réfugié soudanais, a été arrêté dans sa fuite et retenu prisonnier pendant six ans sur une île située non loin de l’Australie. Là-bas, il a œuvré sans relâche pour celles et ceux qui sont privé·e·s de leurs droits les plus élémentaires. En 2019, il s’est vu récompenser du Prix Martin Ennals pour la défense des droits humains. -
60 ans d'Amnesty International: la justice au cœur 60 ans, 6 victoires
Activistes pacifistes réprimé·e·s, blogueurs et blogueuses torturé·e·s, promulgation de lois discriminatoires : chaque année, des libertés fondamentales sont menacées et des personnes risquent leur vie pour avoir exprimé leur opinion. Mais la mobilisation d’Amnesty International et de ses membres montre que le changement est possible. Retour sur de récentes victoires en faveur des droits humains. -
Afrique
Les conflits armés se poursuivent actuellement dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, avec de nouvelles formes de violence perpétrées par des acteurs non étatiques qui entraînent des meurtres, des tortures, des enlèvements, des violences sexuelles et des déplacements massifs. Dans de nombreux pays africains, les gouvernements restreignent sévèrement le droit à la liberté d'expression et prennent des mesures contre les professionnel.le.s des médias, les défenseurs et défenseuses des droits humains et les opposants politiques, notamment en relation avec les élections. Mais, partout sur le continent, il existe aussi des mouvements de jeunes, de militant.e.s et de défenseurs et défenseuses des droits humains qui descendent dans la rue pour défendre leurs droits et la démocratie. -
Afrique: rapport annuel 2019 Les conflits armés et la répression favorisent les violations des droits humains
Dans toute l’Afrique subsaharienne, des manifestant·e·s ont bravé les tirs et les coups pour défendre leurs droits face aux conflits et à la répression qui perdurent, a déclaré Amnesty International à l’occasion de la publication de son rapport annuel sur les droits humains dans la région. -
Soudan Tous les services de sécurité ayant attaqué des manifestants doivent rendre des comptes
Une enquête menée par Amnesty International a conclu que tous les services des forces de sécurité du pays étaient impliqués dans la répression au Soudan lors des manifestations contre le gouvernement du président déchu Omar el Béchir en 2018 et 2019 et a dévoilé de nouveaux éléments de preuve sur les circonstances entourant la mort des manifestants. -
Soudan du Sud Répression sans frontières
Les autorités du Soudan du Sud ont accentué ces derniers mois leur répression de l’opposition pacifique en menant jusqu’au-delà de leurs frontières une campagne de harcèlement, d’intimidation et d’attaques contre leurs détracteurs afin d’empêcher une série de manifestations internationales concernant l’action du gouvernement. -
Soudan Le gouvernement doit stopper ses attaques contre les manifestants pacifiques
Des unités paramilitaires connues sous le nom de "Rapid Support Forces" (RSF) mènent actuellement des attaques meurtrières contre des manifestations pacifiques au Soudan. Des rapports crédibles font état de nombreux morts et blessés. L’accès à Internet est restreint depuis début juin. Agissez avec nous contre la répression militaire. -
Soudan La communauté internationale doit réagir face à la flambée de violence
La sanglante répression des manifestations qui ont actuellement lieu au Soudan ont fait plusieurs dizaines de morts. Amnesty International appelle la communauté internationale à réagir. -
Soudan Pourquoi l'ancien président Omar El Béchir ne doit pas échapper à la justice
Si le président soudanais Omar El Béchir a été destitué après trois décennies d’un régime profondément répressif, il doit encore répondre devant la justice de la longue liste des graves violations des droits humains et des crimes de droit international qu’il aurait commis lorsqu’il était au pouvoir. -
Rapport Peine de mort 2018 Une baisse notable des exécutions
Le nombre d’exécutions recensées à travers le monde a chuté de près d’un tiers l’an dernier, atteignant le chiffre le plus faible enregistré depuis au moins une décennie. Les statistiques portent sur les exécutions dont Amnesty International a eu connaissance partout dans le monde sauf en Chine, où les chiffres continuent d’être classés secret d’État, mais où les exécutions se comptent par milliers. -
Rapport Peine de mort 2018 Faits et chiffres 2018
Amnesty International a recensé au moins 690 exécutions dans 20 pays en 2018, ce qui représente une baisse de 31% par rapport à 2017 (au moins 993). Ce chiffre est le plus faible enregistré au cours de la dernière décennie. -
Prix Martin Ennals 2019 Abdul Aziz Muhamat est le lauréat 2019
Le défenseur des droits des réfugiés Abdul Aziz Muhamat (Soudan) est le lauréat du Prix Martin Ennals pour les défenseur·e·s des droits humain 2019. Il figurait parmi les trois finalistes désignés en octobre dernier par un jury composé de dix des plus importantes organisations de défense des droits humains, aux côtés du Colombien Marino Cordoba Berrio et de la Turque Eren Keskin. Tous trois ont été honorés le 13 février, lors d’une cérémonie organisée par la Ville de Genève. -
Soudan Annulation de la condamnation à mort de Noura Hussein
La décision de justice annulant la peine capitale prononcée contre Noura Hussein, qui avait tué son mari en état de légitime défense lors d’une tentative de viol, et la remplaçant par une peine de cinq ans de prison doit servir de catalyseur pour une révision de la législation au Soudan. -
Soudan Mudawi Ibrahim Adam libéré après huit mois
En réaction à la libération du défenseur soudanais des droits humains Mudawi Ibrahim Adam et à l’abandon de toutes les charges qui pesaient sur lui, Sarah Jackson, directrice adjointe du programme Afrique de l’Est, Corne de l’Afrique et Grands Lacs à Amnesty International, a déclaré:
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