Sud-Soudan
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Opinion Ne pas détourner le regard
Active dans le mouvement citoyen qui a suivi la destitution de l'ancien président, Sanaa Mohamed croyait en l'avenir du Soudan. Jusqu'au jour où le pays a brutalement sombré dans le chaos, pris dans la lutte fratricide que se livrent les deux fractions. -
Soudan Prise au piège, la population ne peut pas fuir les combats
L'Égypte, l'Éthiopie, le Tchad, le Soudan du Sud et les Émirat arabes unis refusent l'entrée sur leur territoire à certaines personnes qui demandent l'asile. Amnesty International demande que les pays limitrophes du Soudan lèvent immédiatement les restrictions d’entrée pour celles et ceux qui fuient le conflit dans le pays, et garantissent l’accès à la protection et à la sécurité aux plus de 500 000 personnes qui ont déjà fui les combats. -
Afrique
Les conflits armés se poursuivent actuellement dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, avec de nouvelles formes de violence perpétrées par des acteurs non étatiques qui entraînent des meurtres, des tortures, des enlèvements, des violences sexuelles et des déplacements massifs. Dans de nombreux pays africains, les gouvernements restreignent sévèrement le droit à la liberté d'expression et prennent des mesures contre les professionnel.le.s des médias, les défenseurs et défenseuses des droits humains et les opposants politiques, notamment en relation avec les élections. Mais, partout sur le continent, il existe aussi des mouvements de jeunes, de militant.e.s et de défenseurs et défenseuses des droits humains qui descendent dans la rue pour défendre leurs droits et la démocratie. -
Soudan du Sud Violation de l’embargo sur les armes et recel d’armes
Il faut que le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) prolonge l’embargo sur les armes au Soudan du Sud et renforce son application, estime Amnesty International, apportant de nouvelles preuves que plusieurs unités des forces de sécurité ne le respectent pas et recèlent des armes. -
La peine de mort en 2019 Nombre record d’exécutions en Arabie saoudite et recul de la peine de mort à l’échelle mondiale
Malgré la diminution générale du nombre d’exécutions recensées à l’échelle mondiale, l’Arabie saoudite a exécuté un nombre record de personnes en 2019. Les autorités saoudiennes ont mis à mort 184 personnes l’année dernière, soit le plus grand nombre d’exécutions recensées par Amnesty International en un an dans ce pays. -
Soudan du Sud La paralysie du système judiciaire alimente l’impunité pour les crimes de guerre
Les autorités sud-soudanaises permettent à l’impunité de prospérer pour les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis depuis qu’un violent conflit a éclaté en décembre 2013. -
Soudan du Sud Répression sans frontières
Les autorités du Soudan du Sud ont accentué ces derniers mois leur répression de l’opposition pacifique en menant jusqu’au-delà de leurs frontières une campagne de harcèlement, d’intimidation et d’attaques contre leurs détracteurs afin d’empêcher une série de manifestations internationales concernant l’action du gouvernement. -
Rapport Peine de mort 2018 Une baisse notable des exécutions
Le nombre d’exécutions recensées à travers le monde a chuté de près d’un tiers l’an dernier, atteignant le chiffre le plus faible enregistré depuis au moins une décennie. Les statistiques portent sur les exécutions dont Amnesty International a eu connaissance partout dans le monde sauf en Chine, où les chiffres continuent d’être classés secret d’État, mais où les exécutions se comptent par milliers. -
Rapport Peine de mort 2018 Faits et chiffres 2018
Amnesty International a recensé au moins 690 exécutions dans 20 pays en 2018, ce qui représente une baisse de 31% par rapport à 2017 (au moins 993). Ce chiffre est le plus faible enregistré au cours de la dernière décennie. -
Soudan du Sud et Kenya : Action lettre terminée pour Dong Samuel Luak et Aggrey Ezbon Idri Disparition forcée de deux hommes depuis deux ans
Dong Samuel Luak et Aggrey Ezbon Idri ont disparu à Nairobi en janvier 2017. Les deux hommes ont d'abord été conduits dans un lieu de détention au Soudan du Sud. Ensuite, ils ont été emmenés ailleurs. Depuis lors, aucune nouvelle. La disparition forcée de ces deux hommes semble avoir été orchestrée en collaboration entre les forces de sécurité kényanes et sud-soudanaises. -
Soudan du Sud De nouvelles atrocités infligées aux civils
Une récente offensive militaire d’une brutalité stupéfiante au Soudan du Sud s'est soldée par le meurtre de civils, le viol systématique de femmes et de filles et le pillage et la destruction massifs de villages. Le fait que les autorités n’aient pas poursuivi ou suspendu les criminels de guerre présumés aggravent encore la situation, a déclaré Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Sud Soudan Les arrestations arbitraires et la torture en détention continuent
Les autorités du Soudan du Sud ont soumis des personnes à des arrestations et à des détentions arbitraires, avant de leur infliger des mauvais traitements et de les torturer, parfois à mort, en dépit de promesses répétées en faveur de libérations. -
Soudan du Sud (et Kenya): Action lettre terminée pour Dong Samuel Luak et Aggrey Ezbon Idri Deux hommes portés disparus depuis un an
En janvier 2017, les deux hommes sud-soudanais - Dong Samuel Luak, défenseur des droits humains et Aggrey Ezbon Idri, détracteur du gouvernement - ont disparu à Nairobi (Kenya). La disparition forcée de ces deux hommes semble avoir été orchestrée en collaboration entre les forces de sécurité kenyanes et sud-soudanaises. -
Sud Soudan Le grenier à blé du pays transformé en champ de la mort
La nouvelle ligne de front dans le conflit au Soudan du Sud a contraint des centaines de milliers de personnes à fuir la fertile région d’Équatoria au cours de l’année écoulée, et génère des atrocités, la famine et la peur. -
Sud Soudan Homicides, déplacements de masse et pillages contre les civils dans le Haut-Nil
Des dizaines de milliers de civils dans la région du Haut-Nil, au Soudan du Sud, ont été déplacés de force lorsque les forces du gouvernement ont incendié, bombardé et systématiquement pillé leurs villes et villages entre janvier et mai 2017. -
Ouganda Près d'un million de réfugiés et une aide internationale insuffisante
Plus de 900'000 réfugiés ont fui le violent conflit au Soudan du Sud pour trouver refuge en Ouganda. Les pays riches manquent à leur obligation d’épauler l'Ouganda pour leur venir en aide. Amnesty International publie un rapport accablant à la veille d'un sommet des donateurs de haut niveau à Kampala. -
Soudan du Sud Homicides commis par des soldats, l'ONU manque à son devoir
Les forces du gouvernement du Soudan du Sud se sont rendues responsables en juillet, à Djouba, la capitale du pays, d'homicides délibérés de civils, de viols commis contre des femmes et des jeunes filles et de pillage -
Soudan du Sud Un an après l'accord de paix, justice doit être rendue aux victimes
La recrudescence des violences renforce la nécessité d'amener à rendre des comptes les responsables présumés de crimes de droit international commis lors du conflit armé au Soudan du Sud, un an après la signature d'un accord de paix titubant. -
Soudan du Sud Considérer l’impact dévastateur de la guerre sur la santé mentale
Des gens forcés à consommer de la chair humaine et à éviscérer des cadavres dans le cadre la guerre civile ayant commencé au Soudan du Sud en 2013 font partie des milliers de personnes souffrant de traumatismes et de détresse psychologique, alors que les services de santé mentale sont rares dans le pays, a déclaré Amnesty International mercredi 6 juillet à l’occasion du cinquième anniversaire de la création du Soudan du Sud. -
Soudan La force de maintien de la paix de l’ONU doit protéger les civils en péril
Le secrétaire général de l’ONU a demandé que le Conseil de sécurité fournisse des ressources humaines et matérielles supplémentaires à la Mission des Nations unies au Soudan du Sud (MINUSS), ce qui témoigne du besoin urgent de protéger les civils en danger face à l’escalade de la violence, a déclaré Amnesty International.
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