2019

26/11/2019 Principale cause des confiscations illégales de terres dans les réserves et les territoires indigènes de l’Amazonie brésilienne, l’élevage de bétail favorise la déforestation et le piétinement des droits des peuples indigènes et traditionnels qui y vivent, écrit Amnesty International.

13/09/2019 Le gouvernement du président Jair Bolsonaro a encouragé la saisie illégale de territoires autochtones en Amazonie, ce qui a poussé des intrus illégaux à menacer et à intimider ces populations et a entraîné environ 75 000 feux de forêt cette année. Demandez au gouvernement brésilien de protéger les droits des populations autochtones et l’Amazonie.

02/09/2019 Pour Amnesty International, il est essentiel que les autorités brésiliennes mènent des enquêtes et poursuivent en justice les responsables qui ont déclenché les incendies illégaux en Amazonie, afin d'empêcher que la forêt amazonienne ne subisse d’autres destructions.

26/08/2019 La responsabilité du gouvernement brésilien dans les feux de forêt qui ravagent une partie de l'Amazonie est vivement pointée du doigt.

06/08/2019 Les discours hostiles aux droits humains tenus par le candidat Jair Bolsonaro durant la campagne électorale sont désormais traduits en actions. Les mesures du gouvernement brésilien génèrent un climat de peur parmi les populations défavorisées et affectent l’action des mouvements sociaux. Le point avec la militante féministe Ludmilla Teixeira.

21/05/2019 Près de cinq mois après l'arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement, Amnesty International lance une campagne "Le Brésil pour tous", dans laquelle elle fait part de ses principales préoccupations concernant l'évolution de la situation dans le pays depuis l’entrée en fonction de Jair Bolsonaro.

07/05/2019 Le risque de violents affrontements est imminent dans la région de l’Amazonie, au Brésil, à moins que le gouvernement ne protège les terres ancestrales des populations indigènes contre les confiscations et l’exploitation forestière illégales qui ne cessent de s’amplifier, imputables à des intrus armés.

14/03/2019 Un an après l’assassinat de la défenseure des droits humains et conseillère municipale de Rio de Janeiro Marielle Franco, et de son chauffeur Anderson Gomes, les autorités brésiliennes n’ont toujours pas fourni de réponses acceptables à leurs familles et à la société. Leur incapacité à traduire les responsables en justice met également en danger d'autres défenseurs·e·s des droits humains.