2018
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Amériques Le gouvernement des États-Unis met en danger les demandeurs d’asile avec des politiques illégales
Les politiques illégales de gestion des frontières que mettent en œuvre les États-Unis se traduisent par des milliers de demandeurs d’asile bloqués au Mexique, menacés d’expulsion vers leurs pays d’origine, où ils risquent pourtant d’être victimes de graves préjudices. -
ÉTATS-UNIS Donald Trump doit renoncer à son projet cruel d’empêcher les migrants de demander l’asile
Kumi Naidoo, secrétaire général d'Amnesty International a condamné le projet du président Donald Trump de mettre en place une politique restrictive visant à limiter les droits des migrants, des réfugiés et des demandeurs d'asile venus d'Amérique centrale. Il a rappelé que le droit à l'asile était un droit fondamental de la personne humaine et que limiter ce droit était contraire à la législation. -
Bonne nouvelle Washington devient le 20e État à abolir la peine de mort
À la suite de l’annonce de la Cour suprême de l’État de Washington indiquant que la peine de mort est inconstitutionnelle, Kristina Roth, responsable du programme Justice pénale au sein d’Amnesty International États-Unis, a déclaré: -
États-Unis Refoulements illégaux, détentions arbitraires et familles déchirées
Le gouvernement des États-Unis a délibérément adopté des pratiques et une politique d’immigration qui ont eu des effets catastrophiques, pour des milliers de personnes en quête de sécurité, dont la séparation de plus de 6'000 familles en quatre mois, un chiffre largement supérieur à celui dévoilé précédemment par les autorités. -
Action e-mail terminée Le Mexique n'est pas un pays tiers sûr
Les États-Unis et le Mexique envisagent de signer un accord qui reconnaîtrait au Mexique le statut de «pays tiers sûr». Cela empêcherait les demandeuses et demandeurs d’asile qui transitent par le Mexique de solliciter une protection auprès des États-Unis et les obligerait à rester au Mexique, où leurs droits ne seraient pas respectés. Amnesty demande aux autorités américaines de refuser de signer un tel accord. -
USA Les droits humains face à la violence armée
Le gouvernement des États-Unis a laissé la violence armée dégénérer en une crise majeure des droits humains, écrit Amnesty International dans son nouveau rapport. Intitulé «In the Line of Fire: Human Rights and the U.S. Gun Violence Crisis», ce document examine tous les aspects de la vie des Américains sur lesquels le libre accès aux armes à feu et l’absence d’efforts réels pour mettre en place une règlementation nationale, a eu un impact. -
États-Unis Le maintien à tout prix de la peine de mort en Floride assombrit l'image du «Sunshine State»
La Floride se présente comme une destination touristique et une plaque tournante du commerce régional et international. Cet État est moins connu en tant que partisan inconditionnel d'une politique cruelle rejetée par une grande partie du monde. Amnesty International fait la lumière sur ce côté sombre du «Sunshine State». -
ONU/Tokyo De flagrantes violations du traité jettent une ombre sur la conférence sur le contrôle des armes
De nombreux gouvernements continuent d'alimenter des conflits partout dans le monde et de violer les dispositions du Traité sur le commerce des armes (TCA) en fournissant des armes à des auteurs connus de violations des droits humains. -
États-Unis: Action lettre terminée pour Alejandra Une femme transgenre doit être libérée immédiatement pour raisons humanitaires
Alejandra (n° de dossier d’immigration américain : A# 216-269-450) est une femme transgenre de 43 ans originaire du Salvador. Esthéticienne et militante des droits humains dans son pays, elle a fini par le fuir après avoir subi une attaque et une agression sexuelle aux mains de membres d’une organisation criminelle transnationale et de l’armée salvadorienne en raison de son identité transgenre. -
Syrie La coalition que dirigent les États-Unis reconnaît des pertes civiles lors de l'opération menée à Raqqa
Les recherches d'Amnesty International ont amené la coalition militaire dirigée par les États-Unis à reconnaître l'homicide de dizaines de civils lors de son offensive contre Raqqa. La coalition doit de toute urgence diligenter une enquête approfondie et indépendante. -
États-Unis L'administration Trump bafoue effrontément les droits humains des familles séparées
Jeudi soir expirait le délai imposé par la justice à l'administration Trump pour réunir les familles des plus de 2500 enfants séparés de force de leurs parents alors qu’ils étaient en quête de protection. Selon certaines sources, plus de 900 parents devraient rester séparés de leurs enfants parce que les autorités ont estimé qu’ils «ne remplissent pas les conditions requises» ou «ne semblent pas encore remplir les conditions requises» pour bénéficier de ce regroupement familial. -
Nations Unies Mettre un terme définitif à la détention des enfants migrants
Des centaines d'enfants traumatisés demeurent enfermés dans des centres de détention aux États-Unis, conséquence de la politique de séparation des familles du gouvernement de Donald Trump. Amnesty International demande aux dirigeants du monde d'agir en incluant l’engagement de mettre un terme à la détention des enfants migrants dans le texte du Pacte mondial sur les migrations, qui entre dans sa phase finale de négociations la semaine prochaine. -
Opinion Les États-Unis dilatent les frontières de l'inacceptable
Nadia Boehlen, porte-parole d’Amnesty International Suisse, explique en quoi la décision des États-Unis, la plus puissante démocratie du monde, de se retirer du Conseil des droits de l’homme aura des effets ravageurs sur le plan politique. Certains Etats européens ont déjà pris le virage de tous les extrêmes... -
États-Unis Le décret présidentiel emprisonne les familles indéfiniment, causant davantage de préjudices aux enfants
Amnesty réagit sur la signature par le président Trump du décret imposant le maintien des enfants avec leurs parents en détention pendant le traitement de leur demande d’asile. -
États-Unis La séparation des enfants de leurs parents s'apparente à un acte de torture
Les images intolérables montrant des enfants arrachés à leurs parents et enfermés dans des cages, en application de la politique de tolérance zéro voulue par le ministre américain de la Justice, Jeff Sessions, terniront durablement la réputation des États-Unis. -
Retrait des États-Unis du Conseil des droits de l’homme Une décision irresponsable et contreproductive
Les États-Unis ont annoncé leur retrait du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève. Il s'agit d'une mesure grave et irresponsable. Malgré toutes ses faiblesses, le Conseil des droits de l'homme reste un moyen indispensable pour faire respecter les droits humains dans le monde entier. -
Prix ambassadeur de la conscience 2018 L'athlète et militant Colin Kaepernick reçoit le prix le plus prestigieux d'Amnesty International
L'athlète Colin Kaepernick, militant exemplaire, s'est vu décerner le prix Ambassadeur de la conscience 2018 d’Amnesty International, a annoncé l'organisation de défense des droits humains le 21 avril. -
Attaques de drones meurtrières menées par les États-Unis Les pays européens impliqués doivent revoir leur rôle
À l'heure où le gouvernement de Donald Trump se prépare à étendre le programme américain de frappes meurtrières par drones, avec un risque accru de faire des victimes civiles et de procéder à des homicides illégaux, Amnesty International appelle quatre pays européens à revoir de toute urgence le soutien opérationnel et l'aide en matière de renseignement qu'ils apportent à ce programme. -
La peine de mort dans le monde: statistiques 2017 Une lueur d'espoir en Afrique subsaharienne
Le nombre d'exécutions et de condamnations à mort recensées à travers le monde a diminué, après les hausses record enregistrées les années précédentes. Les motifs d'inquiétude persistent cependant, car de nombreux pays continuent de violer le droit international et parce que 21’919 personnes au moins sont encore aujourd’hui dans les couloirs de la mort. -
Rapport Peine de mort 2017 Faits et chiffres 2017
Amnesty International a recensé au moins 993 exécutions dans 23 pays en 2017, soit 4% de moins qu'en 2016 (où 1 032 exécutions avaient été enregistrées) et 39% de moins qu'en 2015 (année où l'organisation avait relevé le chiffre le plus élevé depuis 1989: 1634 exécutions). La plupart des exécutions ont eu lieu, par ordre décroissant, en Chine, en Iran, en Arabie saoudite, en Irak et au Pakistan.
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