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Venezuela – Action lettre Il faut libérer des défenseur·e·s des droits humains
Le 7 janvier 2025, des individus cagoulés ont détenu arbitrairement Carlos Correa, défenseur des droits humains bien connu et directeur exécutif de l’ONG vénézuélienne Espacio Público (Espace public); on ignore quel sort lui a été réservé et où il se trouve. Sa détention se fonde uniquement sur son travail en faveur des droits humains, tout comme c’est le cas de quatre autres défenseur·e·s actuellement détenus de manière arbitraire en raison de leurs activités militantes au Venezuela. Il s’agit de Javier Tarazona, Rocío San Miguel, Carlos Julio Rojas et Kennedy Tejeda. Nous demandons à Nicolás Maduro de garantir leur libération immédiate et inconditionnelle et, pendant leur détention, de protéger leur vie et leur sécurité, ainsi que leurs droits de ne pas être soumis à la torture et de bénéficier des garanties d’un procès équitable. -
Venezuela – Action lettre Il faut cesser de persécuter une ONG
Depuis novembre 2024, les autorités au Venezuela intensifient leurs attaques contre PROVEA, une ONG renommée qui défend les droits humains dans le pays. Alors qu'un haut représentant du gouvernement les a menacés directement lors d'une émission télévisée quelques semaines auparavant, le Corps d’investigations scientifiques, pénales et criminalistiques (CICPC) vient de délivrer une convocation à Oscar Murillo, coordinateur général de PROVEA, pour qu'il témoigne dans une affaire de délit présumé au titre de la très contestée «loi de lutte contre la haine». Nous demandons aux autorités de mettre immédiatement fin à toutes les représailles et menaces dirigées contre PROVEA, ses membres et d’autres ONG réclamant justice et obligation de rendre des comptes au Venezuela. -
Monde Des défenseur·e·s du droit à l’avortement en butte à la violence et à la stigmatisation
Dans la deuxième saison du podcast d’Amnesty International, On the Side of Humanity, des personnes qui défendent le droit à l’avortement révèlent ce que signifie fournir des soins vitaux face à la violence, à la répression et à la stigmatisation. -
Venezuela – Action lettre / Délai expiré Arrestations massives de groupes vulnérables
Entre le 29 juillet et le 7 août 2024, plus de deux mille personnes ont été arrêtées pour avoir protesté ou parce qu’elles sont considérées comme ayant critiqué le gouvernement. La majorité des personnes arrêtées sont des jeunes, dont au moins 105 ont entre 13 et 17 ans. Au moins 16 personnes vivant avec un handicap tel qu’une déficience visuelle ou auditive sont toujours détenues. Des allégations crédibles continuent de faire état de détention au secret et de refus d'assistance juridique, avec un risque élevé de torture et d’autres mauvais traitements. Nous demandons aux autorités de libérer toutes les personnes détenues pour avoir exercé leurs droits et nous exhortons le procureur général à protéger les personnes vulnérables en raison de leur âge, d’un handicap ou d’une maladie grave ou chronique. -
Action lettre: Venezuela / Action terminée Des détenu·e·s sont victimes d’une négligence critique
Depuis février 2024, Juan Carlos Marrufo endure des conditions inhumaines de détention à la prison vénézuélienne Rodeo I, ayant été placé en détention arbitraire motivée par des considérations politiques depuis mars 2019. En plus d’être placé à l’isolement et de manquer d’eau potable, il est également privé d’examens et de traitements médicaux. María Auxiliadora Delgado, son épouse également détenue depuis plus de cinq ans, a besoin d’examens médicaux sans délai. Emirlendris Benitez, arrêtée arbitrairement en août 2018, souffre de pathologies liées aux actes de torture qu’elle a subis et a besoin d’interventions chirurgicales immédiates. Nous demandons à la ministre Celsa Bautista de veiller à ce que ces détenu·e·s reçoivent des soins médicaux sans plus attendre. -
Action lettre: Venezuela / Action terminée Une militante vénézuélienne doit être relâchée
Rocío San Miguel, défenseure des droits humains connue, a été soumise à une arrestation arbitraire le 9 février 2024 au Venezuela. Le lieu où elle se trouvait est resté inconnu jusqu’au 15 février, ce qui constitue une disparition forcée de courte durée. Sa fille et d’autres membres de sa famille ont également été arrêtés de manière arbitraire le 9 février, puis libérés sous conditions le 15 février. Rocío San Miguel et son ancien compagnon sont injustement maintenus en détention, accusés de plusieurs crimes présumés, et sont privés d’accès à des avocats de confiance. Elle est incarcérée pour avoir défendu les droits humains au Venezuela, et Amnesty International demande à Nicolás Maduro de la libérer immédiatement et sans condition, et de garantir sa sécurité. -
Action lettre: Venezuela / Action terminée Les ONG sont gravement menacées
Le 9 janvier 2024, l’Assemblée nationale a repris l’examen d’un projet de loi visant à restreindre et potentiellement poursuivre en justice et fermer les ONG menant des activités au Venezuela. Ce projet de loi avait été approuvé à l’issue d’un premier vote le 24 janvier 2023 et son adoption définitive pourrait être imminente. S’il est adopté, toutes les ONG devront respecter des mesures abusives, sous peine de poursuites pénales. Ces mesures bafoueraient, entre autres, les droits à la liberté d’association et à la vie privée et exposeraient les ONG et leurs bénéficiaires à un grave risque de poursuites judiciaires et de représailles. Nous appelons instamment l’Assemblée nationale à mettre immédiatement ce projet de loi au rebut et à cesser toutes les attaques contre la société civile. -
Action lettre: Perou / Action terminée Des personnes réfugiées risquent d’être expulsées
Les ressortissant·e·s vénézuéliens au Pérou ne peuvent plus demander une protection temporaire, qui permettait aux réfugié·e·x·s de régulariser leur situation migratoire. Le 14 novembre, le gouvernement péruvien a publié le décret-loi n° 1582, qui ordonne l’expulsion de toutes les personnes étrangères en situation irrégulière et met donc en danger les très nombreux Vénézuélien·ne·s qui n’ont pas pu demander une protection temporaire avant l’échéance du 10 novembre. La procédure en 24 heures qui a été établie pour ces expulsions est incompatible avec les garanties d’une procédure régulière, avec le principe de «non-refoulement» et avec l’obligation internationale qui incombe au Pérou de protéger les personnes ressortissantes du Venezuela. Amnesty International demande au gouvernement péruvien d’abroger immédiatement ce décret. -
Venezuela: Action lettre pour neuf personnes en détention arbitraire / Action terminée Des détentions arbitraires pour réduire les voix critiques au silence
Au cours des dix dernières années, Amnesty International a recueilli des informations sur le recours à la détention arbitraire pour des motifs politiques par le gouvernement vénézuélien. Ces neuf personnes sont également victimes de cette pratique: Darío Estrada, Emirlendris Benítez, Gabriel Blanco, Guillermo Zárraga, Javier Tarazona, Juan Carlos Marrufo, María Auxiliadora Delgado, Roland Carreño, Robert Franco. -
Venezuela: Action lettre pour Emirlendris Benítez / Action terminée Peine injuste de 30 ans
Emirlendris Benítez est injustement détenue depuis cinq ans. Elle a été arbitrairement détenue le 5 août 2018 sur la base de fausses accusations. -
Venezuela Détentions arbitraires comme outil de répression
Dans un nouveau rapport, Amnesty International dénonce la persistance de la politique de répression mise en œuvre par le gouvernement de Nicolás Maduro. L’organisation fournit des informations sur les cas de neuf personnes faisant l’objet d’une détention arbitraire dans le cadre de cette politique. -
Good News Six mois de victoires pour les droits humains
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Venezuela: Action lettre pour Javier Tarazona / Action terminée Un défenseur des droits humains détenu arbitrairement depuis deux ans
Javier Tarazona est un prisonnier d’opinion, emprisonné pour ses travaux de défense des droits humains. Sa santé s’est gravement détériorée par manque d’accès à des soins médicaux. Il doit être libéré immédiatement et sans condition. -
Venezuela: Action lettre terminée pour Javier Tarazona La santé d'un prisonnier d'opinion en détention arbitraire s’est détériorée
Le prisonnier d'opinion Javier Tarazona est en détention arbitraire depuis juillet 2021. Sa santé s'est gravement détériorée et il a besoin d'une prise en charge immédiate et urgente. -
Amériques
Sur le continent américain, la vie quotidienne de nombreuses personnes est marquée par les inégalités sociales, la violence et l'accès insuffisant aux services de base. La discrimination à l'encontre des afro-américain·e·s et des minorités ethniques est profondément ancrée dans la société et sous-tend de nom-breuses violations des droits humains, telles que les violences policières. Les communautés indigènes sont souvent marginalisées. Les droits sexuels et reproductifs des femmes sont insuffisamment garantis dans de nombreux pays du continent. La violence à l'égard des femmes et des personnes appartenant à la communauté LGBTIQ est très forte. En Amérique latine, les défenseur·e·s des droits humains sont plus que partout ailleurs victimes de menaces et d’assassinats. -
Venezuela De nouvelles preuves contredisent la version officielle du décès de Rafael Acosta Arévalo
Un rapport d'Amnesty International apporte de nouveaux éléments concernant le décès en juin 2019 de Rafael Acosta Arévalo, accusé d'être impliqué dans une tentative de coup d'Etat contre Nicolás Maduro. La politique de répression mortifère du gouvernement de Nicolás Maduro qui vise à museler la dissidence est dénoncée. -
Venezuela: Action lettre terminée pour Rubén González Inquiétudes pour un syndicaliste détenu
Le syndicaliste Rubén González, détenu de manière arbitraire depuis novembre 2018 et condamné en août 2019 à cinq ans et neuf mois de prison, est un prisonnier d’opinion. -
Amériques Les États doivent inscrire les droits humains dans leur réponse au COVID-19
Amnesty International a publié des recommandations destinées aux États des Amériques afin qu’ils veillent à ce que leur réponse au coronavirus COVID-19 soit conforme à leurs obligations internationales en termes de droits humains. Elle pointe aussi une série de violations des droits humains dans la région qui sont antérieures à la pandémie mais qui pourraient s’aggraver. -
Rapport annuel 2019 Résumé régional Amériques
Les inégalités, la corruption, la violence, la dégradation de l’environnement, l’impunité et l’affaiblissement des institutions sont demeurés des réalités communes dans toute la région, causant des violations des droits fondamentaux de millions de personnes. -
Rapport annuel 2019: Amériques Restriction drastique du droit de manifester et du droit d’asile
En 2019, des millions de personnes sont descendues dans la rue afin de protester contre des violences, des inégalités, une corruption et une impunité généralisées, ou ont été forcées à quitter leur pays en quête de sécurité. Dans ce contexte, divers États des Amériques ont restreint le droit de manifester et le droit de demander l’asile, faisant preuve d’un mépris flagrant pour les obligations auxquelles ils sont tenus en vertu du droit national et du droit international, a déclaré Amnesty International à l’occasion du lancement de son rapport annuel portant sur la région.
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