Bangladesh
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Bangladesh – Action lettre / Délai expiré Des milliers de manifestant·e·s soumis à des arrestations arbitraires
Rony Sheikh fait partie des plus de 10'000 personnes (étudiant·e·s, membres de l’opposition et passant·e·s) qui ont été arrêtés depuis juillet 2024, dans le contexte de la répression intense menée par le gouvernement contre les manifestant·e·s. Ses proches affirment que ni eux ni leurs avocats n’ont pu s’entretenir avec Rony, et ils craignent qu’il ne soit soumis à la torture et à d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants en détention. La réaction brutale du gouvernement a fait plus de 400 morts, dont des journalistes et des passant·e·s. Les autorités bangladaises doivent immédiatement mettre fin aux arrestations de masse, libérer tous les manifestant·e·s détenus uniquement pour avoir exercé leurs droits fondamentaux, et garantir le droit à un procès équitable pour toutes les personnes privées de liberté. -
Bangladesh / Droit de manifester L'analyse de nouvelles vidéos et photos confirme l'usage illégal par la police d'armes meurtrières
Les autorités bangladaises continuent de recourir à la force illégalement à l’encontre d’étudiant·e·s qui manifestent dans le cadre de la contestation contre la réforme des quotas à travers le pays, tandis que, depuis six jours, Internet est coupé et les communications sont restreintes, a déclaré le 25 juillet Amnesty International, qui publie la deuxième partie de sa série d’analyses des éléments de preuve. -
Bangladesh – Action lettre / Délai expiré Un blogueur détenu arbitrairement malgré l’obtention de sa libération sous caution
Selim Khan est un blogueur athée vivant au Bangladesh. Il était membre d’un groupe privé Facebook de personnes athées, sur lequel il a exprimé ses opinions. Un autre membre a photographié l’un de ses commentaires et l’a diffusé publiquement, ce qui a suscité de l’agitation. -
Bangladesh – Action lettre / Délai expiré Plus de 100 autochtones arrêtés arbitrairement
Depuis le 7 avril, plus de 100 autochtones Bawm ont été arrêtés arbitrairement dans le cadre d’une opération militaire en cours dans les Chittagong Hill Tracts, dans le sud-est du Bangladesh. Ils sont accusés d’être des terroristes, soupçonnés de faire partie ou de soutenir le groupe militaire du Front national Kuki-Chin, qui aurait braqué deux banques publiques et pris en otage un directeur de banque les 2 et 3 avril 2024. La plupart de ceux qui n’ont pas été arrêtés se sont réfugiés dans des zones de jungle près des villages ou fuient le pays. Amnesty International demande la libération immédiate de tous les civil·e·s et la fin de la répression ciblant la communauté Bawm. -
Bangladesh: Action lettre pour Shahnewaz Chowdhury / Action terminée Accusé pour avoir partagé ses craintes pour l’environnement sur Facebook
Shahnewaz Chowdhury, ingénieur et défenseur des droits humains, s’est servi de Facebook pour exprimer ses préoccupations relatives aux répercussions potentielles de l’installation d’une nouvelle centrale électrique à charbon sur son village. L’entreprise gérant la centrale électrique a engagé des poursuites à l’encontre de Shahnewaz. S’il est reconnu coupable, il risque 10 ans de prison. -
Good News Six mois de victoires pour les droits humains
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Arabie Saoudite En Arabie saoudite, l’enfer des domestiques
La vidéo, postée en 2019 sur Facebook par une domestique bangladaise, appelant désespérément à l’aide depuis l’Arabie saoudite, a été visionnée des milliers de fois. Dans ce royaume où l’employé·e est à la merci de ses patrons, de nombreuses femmes se retrouvent prises au piège. -
Bangladesh Il faut en finir avec la répression de la liberté d'expression en ligne
Les autorités bangladaises doivent mettre un terme à la répression du droit à la liberté d’expression en ligne et abroger de toute urgence la loi draconienne sur la sécurité numérique, à moins qu’elle ne soit modifiée pour être conforme avec le droit international relatif aux droits humains et les normes en la matière, a déclaré Amnesty International dans un nouveau rapport paru lundi 26 juillet 2021. -
Bangladesh Le droit de manifester doit être garanti
Les autorités bangladaises doivent respecter le droit à la liberté de réunion et protéger les manifestant·e·s pacifiques, a déclaré Amnesty International, après que la police a ouvert le feu sur des manifestant·e·s lors d'un rassemblement à Chattogram ce vendredi 26 mars. Cette opération armée a tué au moins quatre personnes et en a blessé des dizaines d'autres, selon des médias locaux. -
Action lettre terminée - Bangladesh/Myanmar Des réfugié·e·s rohingyas détenu·e·s sur une île reculée
Le 4 décembre 2020, les autorités bangladaises ont réinstallé plus de 1 600 réfugié·e·s rohingyas à Bhashan Char, une île reculée dans le Golfe du Bengale. Quelque 100 000 réfugié·e·s rohingyas risquent d’être transférés de Cox’s Bazar vers cette île éloignée. -
Asie Pacifique
Dans toute la région Asie-Pacifique, des dirigeants autocratiques et populistes violent les droits humains. Mais il y a aussi partout des défenseur·e·s des droits humains, des militant·e·s des droits des femmes, des défenseur·e·s de l'environnement et bien d'autres qui s'opposent courageusement à eux et qui travaillent sans relâche pour l'égalité, les droits humains et la démocratie. -
Bangladesh: Action lettre terminée pour Shafiqul Islam Kajol Un prisonnier d'opinion doit être libéré
Shafiqul Islam Kajol, photographe et rédacteur en chef d’un journal bangladais, est détenu uniquement pour avoir exercé son droit à la liberté d’expression. C’est un prisonnier d’opinion, qui doit être libéré immédiatement et sans condition. -
Bangladesh / Myanmar Les réfugiés rohingyas doivent participer aux décisions qui les impactent
Les réfugiés rohingyas au Bangladesh doivent avoir le droit de participer aux décisions qui ont des incidences sur leur vie, et de s’exprimer en leur propre nom, a déclaré Amnesty International le 15 septembre à l’occasion de la publication d’un nouveau document. -
Myanmar/Bangladesh Les insuffisances de la réponse au COVID-19 mettent gravement en danger les réfugiés rohingyas âgés
Les réfugié·e·s rohingyas âgés dans les camps surpeuplés au Bangladesh sont laissés pour compte dans le cadre de la réponse humanitaire face au COVID-19, ce qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices, compte tenu des graves risques auxquels sont exposées les personnes âgées du monde entier face à la pandémie meurtrière. -
Bangladesh Des homicides extrajudiciaires présumés perpétrés sous couvert de «guerre contre la drogue»
Les autorités du Bangladesh auraient tué près de 400 personnes dans le cadre de leur campagne de lutte contre la drogue; il s’agirait d’une vague d’exécutions extrajudiciaires. Dans un rapport, Amnesty International dévoile des allégations de disparitions forcées et de preuves forgées de toutes pièces par les organes chargés de faire respecter la loi dans ces cas d’exécutions extrajudiciaires présumées. -
Myanmar Personnes âgées privées de leur dignité
Des dizaines de milliers d’hommes et de femmes âgés appartenant à des minorités ethniques de tout le Myanmar qui ont subi des atrocités aux mains des militaires et qui ont été forcés de s’enfuir de chez eux sont abandonnés par un système humanitaire qui ne répond souvent pas de façon satisfaisante à leurs besoins, y compris en ce qui concerne leurs droits, dénonce Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Myanmar Le plan de retour des réfugiés rohingyas met des milliers d’entre eux en danger
Les autorités du Bangladesh et du Myanmar doivent immédiatement suspendre le plan de retour des réfugiés rohingyas dans l’État d’Arakan. -
Opinion Aider les Rohingyas qui ont fui au Bangladesh!
Le nettoyage ethnique se poursuit au Myanmar. Pour Nadia Boehlen, porte-parole d’Amnesty International Suisse, il est crucial d’assurer une aide humanitaire pour les centaines de milliers de réfugiés rohingyas qui vivent dans des camps au Bangladesh depuis l’été dernier. -
Myanmar Le nettoyage ethnique se poursuit
La campagne dévastatrice menée par les forces de sécurité du Myanmar contre la population rohingya dans le nord de l’État d’Arakan est loin d'être terminée, a déclaré Amnesty International en publiant de nouvelles informations faisant état de violations persistantes qui ont contraint des centaines de personnes supplémentaires à fuir ces dernières semaines. -
Nations Unies L'exode des Rohingyas du Myanmar révèle l'incapacité du monde à apporter une solution à la crise des réfugiés
Près de 400 000 réfugiés ont fui en raison du nettoyage ethnique au Myanmar: les dirigeants du monde qui se réunissent lors de l'Assemblée générale de l'ONU devraient avoir honte de ne pas avoir tenu leurs promesses d'accueillir plus de réfugiés, mais aussi d'avoir activement démantelé les droits des réfugiés dans de nombreuses régions du globe.
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