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Jeux olympiques en Chine Le CIO doit exiger le respect des droits humains durant les JO
À l'occasion du début des Jeux olympiques d'hiver à Pékin, Amnesty International appelle le CIO à changer clairement de cap. Jusqu'à présent, l'association sportive n'a pas suffisamment assumé son devoir de diligence en matière de droits humains. Le contexte des Jeux olympiques est l’occasion pour le Comité de se positionner de manière décisive face aux abus de Pékin. -
Chine Le monde doit profiter des Jeux olympiques pour exiger des améliorations sur le terrain des droits humains
Le monde doit profiter des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Pékin pour faire pression en faveur d’améliorations dans le domaine des droits humains en Chine, souligne Amnesty International à moins d’un mois de l’ouverture des Jeux. -
Pétition Pékin 2022 : liberté pour cinq champion·ne·s des droits humains
Alors que la Chine s'apprête à accueillir les Jeux olympiques d'hiver, cinq défenseur·euse·s des droits humains sont derrière les barreaux parce qu'iels ont défendu leur droit à la liberté d'expression. Demandez au président chinois Xi Jinping de libérer immédiatement Zhang Zhan, Ilham Tohti, Li Qiaochu, Gao Zhisheng et Rinchen Tsultrim. -
Jeux olympiques de Pékin Une occasion unique d'améliorer la situation des droits humains
Amnesty International appelle les autorités chinoises à abandonner toutes les charges retenues contre des personnes jugées ou détenues uniquement pour avoir exercé leur liberté d’expression, et à les remettre en liberté. Le sort réservé à Zhang Zhan, Ilham Tohti, Li Qiaochu, Gao Zhisheng et Rinchen Tsultrim doit être connu sans délai pour garantir qu’ils ne soient pas soumis à des actes de torture ou d’autres mauvais traitements. -
Libérez les cinq ! Quand défendre la liberté de religion et de culture mène en prison
Rinchen Tsultrim était moine au monastère de Nangshig, dans la préfecture autonome tibétaine d’Aba, dans la province du Sichuan. Après une vague de troubles au Tibet en 2008, il a commencé à exprimer ses opinions sur WeChat et son site web «Scepticisme à l’égard du Tibet». Le gouvernement chinois a tenté de le faire taire, comme il le fait avec toutes les minorités ethniques, culturelles et religieuses.
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