Hu Jia doit avoir accès à un contrôle médical indépendant et bénéficier d’un traitement médical approprié.
Le militant des droits humains a été arrêté en décembre 2007 et condamné en avril 2008 à une peine de prison pour «incitation à la subversion». Amnesty International considère que son procès était inéquitable. Après l’incarcération de Hu Jia, les autorités ont constamment importuné son épouse. Elles l’ont surveillée et assignée à résidence. Amnesty exige que le couple ne soit plus ennuyé.
L’organisation s’inquiète du comportement des autorités chinoises, qui assignent de plus en plus souvent les prisonniers et prisonnières libéré·e·s à résidence.