2015
-
Indonésie Filep Karma, militant indépendantiste papou enfin libéré
Filep Karma, militant indépendantiste papou, a retrouvé la liberté jeudi 19 novembre 2015 après avoir été injustement maintenu en détention pendant plus d’une décennie pour avoir simplement hissé le drapeau du mouvement indépendantiste lors d’une cérémonie politique en 2004, a déclaré Amnesty International. -
Indonésie: Action de lettre terminée pour des manifestants pacifiques Violence policière impunie
Le 8 décembre 2014 au matin, plusieurs centaines de personnes ont manifesté pacifiquement à Paniai, dans la province indonésienne de Papouasie. Des hommes, des femmes et des enfants s’étaient réunis pour dénoncer les agissements d’un groupe de soldats accusés d’avoir battu plusieurs enfants d’un village voisin, la nuit précédente. -
Indonésie Torture et absence de procès équitable pour les condamnés à mort
En Indonésie, les condamnés à mort sont régulièrement privés du droit de consulter un avocat et sont contraints de faire des «aveux» après avoir été passés à tabac, tandis que ceux d’origine étrangère sont confrontés à un système judiciaire qu’ils ne comprennent guère, écrit Amnesty International dans un rapport rendu public jeudi 15 octobre. -
Indonésie: Action de lettre terminée pour Filep Karma Libérer sans conditions les prisonniers d'opinion
Le 26 mai 2005, Filep Karma, ancien fonctionnaire, a été inculpé de «rébellion» et condamné à 15 ans de prison. Il a été accusé d'avoir hissé un drapeau symbolisant l'indépendance papoue. Des ... -
Indonésie Exécutions imminentes de prisonniers condamnés pour trafic de drogue
Amnesty International demande à l’Indonésie d’annuler immédiatement l’exécution de neuf personnes, condamnées à mort pour trafic de drogue. -
Indonésie Djakarta exécute six personnes malgré les protestations internationales
Malgré les appels à la clémence, Djakarta a procédé, peu après minuit dans la nuit de samedi à dimanche, à la mise à mort de six personnes, parmi lesquelles figuraient deux femmes. Elles ont été fusillées par un peloton d'exécution. Il s'agit de la première application de la peine capitale dans le pays depuis l'arrivée au pouvoir, fin octobre, du nouveau président Joko Widodo.