2013
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Myanmar / État d’Arakan Crimes de guerre lors des récentes opérations militaires
Dans le cadre d’une récente investigation menée dans l’État d’Arakan au Myanmar, Amnesty International a recueilli de nouveaux éléments qui prouvent que l’armée birmane commet des crimes de guerre et d’autres atteintes aux droits humains. L’opération militaire est en cours, faisant craindre de nouvelles violations. -
Good News Les journalistes de Reuters libérés
Les journalistes Wa Lone et Kyaw Soe Oo qui avaient publié pour le compte de l’agence de presse Reuters un compte rendu d’un massacre perpétré contre des représentants de la minorité Rohingya ont retrouvé la liberté suite à une amnistie que leur a accordé le président Win Myint. Amnesty International se réjouit de cette bonne nouvelle mais plaide en faveur de mesures supplémentaires pour garantir une totale liberté de la presse au Myanmar. -
Myanmar Souvenirs sauvés des flammes
Les Rohingyas qui se sont réfugiés au Bangladesh ne sont pas encore remis du traumatisme qu’ils ont vécu au Myanmar. Ahmer Khan s’est rendu à Cox’s Bazar pour les photographier avec l’objet le plus cher à leurs yeux qui les a accompagnés dans leur fuite éperdue, écrit Saad Hammadi. -
Myanmar Lois abusives utilisées contre les civils dans l’État d’Arakan
Les forces de sécurité du Myanmar bombardent des villages et empêchent des civils d’accéder à des denrées alimentaires et à une assistance humanitaire dans l’État d’Arakan. Par ailleurs, les forces de sécurité se servent aussi de lois vagues et répressives pour arrêter des civils dans la région. -
Opinion L’impossible retour en Birmanie des réfugiés rohingyas
C’est comme si rien ne s’était passé, ni meurtres, ni viols, ni maisons brûlées. Comme si les réfugiés rohingyas avaient fui la Birmanie sans aucune raison. Les autorités birmanes et bangladaises ont conclu un accord le mois dernier pour organiser le rapatriement d’une partie des 720'000 personnes qui ont trouvé refuge au Bangladesh depuis août 2017.
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