Amnesty International exige que les autorités de Myanmar libèrent sans conditions et sans attendre toutes les personnes qui se sont engagées pacifiquement pour les droits humains, actuellement emprisonnées.
Le 15 juillet 2013, le président Thein Sein s’exprimant en ces termes lors d’une conférence à Londres : «je vous assure qu’il n’existera plus de prisonniers de conscience en Myanmar d’ici la fin de l’année.» Malgré cette promesse et des amnisties présidentielles, des prisonniers de conscience sont toujours derrière les barreaux. En 2014, des défenseurs et défenseuses des droits humains, des journalistes et des militant∙e∙s de l’environnement ont également été emprisonné∙e∙s.
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