2015
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Asie du Sud-est L'inaction face à la crise des réfugiés prépare une catastrophe humanitaire
Un mois après un sommet consacré à la crise au cours de laquelle des milliers de personnes se sont retrouvées bloquées sur des bateaux en mer ces derniers mois, les gouvernements d’Asie du Sud-Est n’ont toujours pas pris les mesures nécessaires pour protéger les réfugiés et les migrants, indique Amnesty International dans une lettre ouverte publiée mercredi 1 er juillet. -
Myanmar Journalistes intimidés et harcelés
Les autorités du Myanmar intensifient leur campagne de répression des médias en ayant recours aux menaces, au harcèlement et à la détention pour limiter les activités des journalistes et organes de presse indépendants à l’approche d’élections nationales importantes en novembre prochain. -
Migration Pourquoi les Rohingyas fuient-ils le Myanmar ?
La crise des milliers de réfugiés Rohingyas coincés dans le golfe du Bengale et sur la mer d’Andaman, au large des côtes de l’Asie du Sud-Est était au cœur des préoccupations lors du sommet régional consacré à la migration clandestine le 29 mai 2015 à Bangkok. Les causes profondes de cette crise trouvent leur origine au Myanmar, où les Rohingyas sont en butte à une discrimination institutionnalisée depuis des décennies. -
Myanmar Un eldorado pour le business?
Des sociétés minières canadiennes et chinoises ont tiré profit de graves atteintes aux droits humains et d'activités illégales dans le contexte du site d'extraction du cuivre de Monywa (où se trouve la mine de Letpadaung, tristement célèbre), avec parfois l'accord tacite des autorités du Myanmar, écrit Amnesty International dans un rapport rendu public mardi 10 février 2015. -
Myanmar Le docteur militant Tun Aung libéré
La remise en liberté de Tun Aung, militant pacifique incarcéré simplement pour avoir tenté d'empêcher des violences intercommunautaires, est une bonne nouvelle, mais les autorités du Myanmar doivent également libérer les dizaines d'autres prisonniers d'opinion qui sont toujours derrière les barreaux, a déclaré Amnesty International.