Bélarus
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Bélarus Une condamnation, ou des « représailles flagrantes » contre les défenseurs des droits humains
Ales Bialiatski, fondateur et président du Centre des droits de l’homme Viasna et lauréat du prix Nobel de la paix, a été condamné à une peine de 10 ans d’emprisonnement, tandis que ses collègues Valiantsin Stefanovich, directeur adjoint de Viasna et vice-président de la Fédération internationale des droits de l’homme, et Uladzimir Labkovich, avocat de Viasna, ont écopé de peines de neuf et sept ans respectivement. -
Bélarus La société civile piétinée
Au Bélarus, un tribunal a condamné deux défenseur·e·s des droits humains, Marfa Rabkova et Andrei Chapyuk, ainsi que huit co-accusé·e·s, à de longues peines de prison. -
Bélarus: Action lettre pour Vladislav Charkovski (ou Sharkovsky) / Action terminée Peine disproportionnée d'un jeune adulte à l'issue d'un procès inique
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Action lettre terminée – Bélarus Marfa Rabkova doit être libérée immédiatement
Marfa Rabkova, défenseure bélarussienne des droits humains est maintenue en détention provisoire depuis septembre 2020 pour avoir mené des activités légitimes en faveur des droits humains, en sa qualité de coordinatrice du réseau de bénévoles de l’ONG Viasna. Bien qu’elle présente des symptômes préoccupants et que son état de santé se soit détérioré, les autorités pénitentiaires la privent depuis des mois de soins médicaux. -
Bélarus/Pologne Violence brutale et refoulements tolérés par l’UE
Les demandeurs·euses d'asile et les migrant·e·s qui tentent d'entrer dans l'Union européenne depuis le Bélarus font l'objet de refoulements et de graves violations des droits humains à la frontière polonaise. Ces personnes sont soumises à des actes de torture et des mauvais traitements, à des extorsions et à d'autres abus aux mains des forces biélorusses. -
Bélarus Il faut libérer les membres de Viasna
Un an après le début de la répression, plusieurs organisations de défense des droits humains lancent une campagne afin de demander la libération des membres de Viasna -
Action lettre terminée / Bélarus Maintien en détention de défenseurs des droits humains
Ales Bialiatski, Valyantsin Stefanovich et Uladzimir Labkovich, défenseurs bélarussiens des droits humains, sont maintenus en détention provisoire et poursuivis pour des infractions en relation avec leur travail en faveur des droits fondamentaux avec le centre Viasna. Nina Labkovich, qui avait été arrêtée avec eux, a été relâchée le 23 juillet. Leur mise en accusation s’inscrit dans une campagne répressive à l’égard de la société civile et des militant·e·s en faveur des droits humains, qui perdure depuis les manifestations post-électorales d’août 2020. Ils n’ont commis aucune infraction et doivent être immédiatement remis en liberté. -
Bélarus Un an après une élection contestée, aucune perspective de justice
Dans le sillage de l’élection présidentielle largement contestée de 2020, les autorités du Bélarus ont mis en œuvre une campagne de représailles violente contre la dissidence et ont commis toute une série de violations des droits humains et de crimes de droit international à l’encontre de la population du Bélarus, a déclaré Amnesty International à l’occasion du premier anniversaire de cette élection. -
Bélarus Le journaliste appréhendé après un atterrissage d’urgence doit être libéré immédiatement
Les autorités bélarussiennes ont interpellé Raman Pratasevich, ancien rédacteur en chef de NEXTA, chaîne Telegram d’opposition populaire, après avoir obligé l’avion à bord duquel il se trouvait à atterrir en urgence à Minsk. Amnesty International demande la libération immédiate du journaliste. -
Bélarus Les femmes en première ligne de la lutte pour les droits humains
Des femmes ayant joué un rôle prépondérant dans les manifestations au Bélarus sont la cible de représailles et de menaces, a déclaré Amnesty International lundi 8 mars. -
Bélarus La scène culturelle en péril
La vibrante scène culturelle du Bélarus est étouffée par la répression brutale de la dissidence, les autorités détenant et torturant arbitrairement des artistes, des musiciens, des écrivains et des acteurs, et forçant d'autres personnes à quitter leur emploi, a dénoncé Amnesty International. -
Bélarus Torture à large échelle: Amnesty demande le recours à la justice internationale
Les autorités bélarussiennes utilisent le système de justice afin de punir les victimes de torture plutôt que leurs tortionnaires, dans le contexte d’une répression brutale contre l’opposition à la suite des manifestations post-électorales. Amnesty International demande à la communauté internationale de prendre des mesures afin que les responsables présumés soient amenés à rendre des comptes. -
Bélarus Des centaines de manifestants pacifiques visés par des procédures pénales
Les autorités bélarussiennes ont intenté des procédures pénales en nombre contre plus de 200 manifestant·e·s pacifiques arrêtés en marge d’un rassemblement dimanche 1er novembre. Ils risquent aujourd’hui jusqu'à trois ans de prison. -
Action lettre terminée - Bélarus Marfa Rabkova inculpée d’une infraction fictive
À la suite de son arrestation le 17 septembre, la défenseure des droits humains Marfa Rabkova a été inculpée et encourt trois ans d’emprisonnement. Cette femme est une prisonnière d’opinion, poursuivie en justice uniquement en raison de ses activités pacifiques de défense des droits humains, et elle doit être libérée immédiatement et sans condition. -
Bélarus L’ONU doit agir avec fermeté face à l’aggravation de la crise des droits humains
En réaction à l’intensification de la crise des droits humains au Bélarus, Amnesty International s’est adressée au Conseil des droits de l'homme des Nations unies aujourd'hui pour demander que cet organe prenne les mesures fortes et décisives requises afin qu’une enquête soit menée sur la répression persistante des manifestations après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle dans ce pays, et afin que les auteurs présumés de violations de masse soient amenés à rendre des comptes. -
Bélarus Les autorités soumettent Maria Kolesnikova à une arrestation s’apparentant à un enlèvement
Les autorités du Bélarus doivent immédiatement révéler le sort réservé à Maria Kolesnikova, l’une des principales figures de l’opposition, et la libérer sans attendre, a déclaré Amnesty International le 8 septembre 2020. D’après des témoins, Maria Kolesnikova a été enlevée par des hommes masqués à Minsk le lundi 7 septembre au matin, ce qui contredit les déclarations des autorités bélarussiennes selon lesquelles elle aurait été arrêtée à la frontière ukrainienne. -
Bélarus Violences policières: l'heure de rendre des comptes
Amnesty International demande aux autorités bélarussiennes de mettre immédiatement fin aux violences policières et d’enquêter sur les violations flagrantes des droits humains commises au cours des trois dernières semaines, tandis que les manifestations pacifiques contre les brutalités policières et le régime du président Alexandre Loukachenko prennent de l’ampleur. -
Bélarus Les entreprises ont la responsabilité de respecter les droits humains
Compte tenu de la crise des droits humains qui a actuellement lieu au Bélarus et qui est due à la violente répression des manifestant·e·s pacifiques, les entreprises, nationales et étrangères, doivent exercer une diligence particulière quand elles mènent leurs activités dans le pays, et se conformer à leur obligation de respecter les droits humains. -
Bélarus Les poursuites pénales engagées contre des leaders de l’opposition bafouent la liberté d’expression
Le procureur général du Bélarus a ouvert une information judiciaire contre le Conseil de coordination, un nouvel organisme formé par des leaders de l’opposition. -
Bélarus Vaste campagne de torture contre les manifestants
Amnesty International et les groupes locaux de défense des droits humains ont recueilli de nombreux témoignages faisant état d'une campagne de torture et d'autres mauvais traitements généralisés dans les prisons du Bélarus. Les prisonniers libérés rapportent avoir été torturés, battus et menacés de viol.
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