2014
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Marathon des lettres 2024 Soutenez les personnes qui se battent contre les injustices !
Depuis plus de 20 ans, le Marathon des lettres est l'occasion de soutenir des personnes qui sont en danger en raison de leur engagement pour les droits humains. Lors de cette édition 2024, nous soutenons cinq personnes originaires d'Égypte, d'Angola, d'Argentine, de Biélorussie et de Corée du Sud. Elles ont toutes besoin de notre aide. Participez vous aussi ! -
Arabie saoudite – Vision grandiose, dure réalité Sommaire
Il l’a rêvé, il est en passe de se réaliser. L’ambitieux projet de réforme «Vision 2030» voulu par le prince héritier Mohammed ben Salmane fait miroiter une Arabie saoudite indépendante au pétrole, ainsi qu’une économie et une société résolument modernes. Un rêve qui verra également se matérialiser dans le désert «The Line», une ville linéaire de 170 kilomètres de long et 500 mètres de haut. Si tout semble bien propre sur le papier, les chantiers le sont moins. Que ce soit celui de la future ville et des expropriations musclées qui l’accompagnent, ou la réforme sociétale de surface qui continue de faire taire brutalement toute forme d’opposition. -
Biélorussie Le dernier rempart de la démocratie
Depuis les grandes manifestations de l’été 2020, l’autoritarisme du régime de Loukachenko s’est renforcé, forçant l’opposition à l’exil, mais aussi à privilégier internet comme terrain de lutte contre la répression. -
Bélarus – Action lettre Il faut mettre fin à l’isolement de Maryia Kalesnikava
Maryia Kalesnikava va est détenue arbitrairement depuis quatre ans en raison de son rôle important dans l’élection de 2020 et les manifestations pacifiques qui ont suivi au Bélarus, et a été maintenue en détention au secret pendant plus de 500 jours. Elle est privée d’appels téléphoniques, de lettres et de visites; il lui est même interdit de parler avec les autres prisonnières. Selon des sources confidentielles, la santé de Maryia Kalesnikava s’est gravement détériorée et elle ne pèse plus que 45 kilos. Le traitement qui lui est réservé, notamment la privation des soins médicaux dont elle a besoin, peut s’apparenter à une forme de torture ou de mauvais traitements et met sa vie en danger. -
Bélarus Une condamnation, ou des « représailles flagrantes » contre les défenseurs des droits humains
Ales Bialiatski, fondateur et président du Centre des droits de l’homme Viasna et lauréat du prix Nobel de la paix, a été condamné à une peine de 10 ans d’emprisonnement, tandis que ses collègues Valiantsin Stefanovich, directeur adjoint de Viasna et vice-président de la Fédération internationale des droits de l’homme, et Uladzimir Labkovich, avocat de Viasna, ont écopé de peines de neuf et sept ans respectivement. -
Bélarus La société civile piétinée
Au Bélarus, un tribunal a condamné deux défenseur·e·s des droits humains, Marfa Rabkova et Andrei Chapyuk, ainsi que huit co-accusé·e·s, à de longues peines de prison. -
Bélarus: Action lettre pour Vladislav Charkovski (ou Sharkovsky) / Action terminée Peine disproportionnée d'un jeune adulte à l'issue d'un procès inique
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Lituanie Détentions illégales et mauvais traitements sur des personnes migrantes
De nombreuses personnes migrantes qui sont passées en Lituanie depuis le Bélarus ont témoigné avoir subi des mauvais traitements. Des pratiques qui contrastent fortement avec l'accueil dont bénéficient les personnes qui arrivent d’Ukraine. -
Action lettre terminée – Bélarus Marfa Rabkova doit être libérée immédiatement
Marfa Rabkova, défenseure bélarussienne des droits humains est maintenue en détention provisoire depuis septembre 2020 pour avoir mené des activités légitimes en faveur des droits humains, en sa qualité de coordinatrice du réseau de bénévoles de l’ONG Viasna. Bien qu’elle présente des symptômes préoccupants et que son état de santé se soit détérioré, les autorités pénitentiaires la privent depuis des mois de soins médicaux. -
Pologne/Bélarus Détentions arbitraires et violences envers les demandeurs·euses d’asile
Les autorités polonaises ont placé en détention arbitraire près de 2’000 demandeurs·euses d’asile qui sont entrés dans le pays depuis le Bélarus en 2021, et ont soumis nombre d’entre eux à des mauvais traitements, notamment des fouilles au corps dans des centres insalubres et surpeuplés. Elles leur ont parfois administré de force des sédatifs et envoyé des décharges de pistolet paralysant. Les renvois forcés illégaux (pushbacks) et les détentions arbitraires contrastent vivement avec l’accueil chaleureux réservé aux personnes fuyant l’Ukraine. -
Bélarus/Pologne Violence brutale et refoulements tolérés par l’UE
Les demandeurs·euses d'asile et les migrant·e·s qui tentent d'entrer dans l'Union européenne depuis le Bélarus font l'objet de refoulements et de graves violations des droits humains à la frontière polonaise. Ces personnes sont soumises à des actes de torture et des mauvais traitements, à des extorsions et à d'autres abus aux mains des forces biélorusses. -
Bélarus / Mikita Zalatarou La police maltraite un adolescent en détention
Mikita Zalatarou avait 16 ans lorsque la police l'a arrêté, battu et lui a infligé des décharges électriques. L'accusation : il aurait jeté un cocktail Molotov sur deux officiers de police. Pour cela, un tribunal l'a condamné à 5 ans de prison. -
Le Marathon des lettres fête ses 20 ans
L’édition 2021 du Marathon des lettres qui débute ce 19 novembre marque les 20 ans de cette initiative. Depuis 2001, Amnesty International a recueilli des millions de messages de soutien adressés à des personnes injustement incarcérées ou persécutées, comme la journaliste citoyenne Zhang Zhan, détenue en Chine pour son travail sur l’épidémie de COVID-19 à Wuhan, qui compte parmi les cas marquants de cette édition. -
Afghanistan Les Afghan·e·s disposent de peu d’itinéraires pour se mettre en sécurité
Près de deux mois après la fin des opérations d’évacuation par pont aérien en Afghanistan, celles et ceux qui sont restés sur place doivent surmonter d’énormes obstacles pour se mettre en sécurité à l’étranger, a déclaré Amnesty International le 21 octobre 2021. -
Bélarus Il faut libérer les membres de Viasna
Un an après le début de la répression, plusieurs organisations de défense des droits humains lancent une campagne afin de demander la libération des membres de Viasna -
Action lettre terminée / Bélarus Maintien en détention de défenseurs des droits humains
Ales Bialiatski, Valyantsin Stefanovich et Uladzimir Labkovich, défenseurs bélarussiens des droits humains, sont maintenus en détention provisoire et poursuivis pour des infractions en relation avec leur travail en faveur des droits fondamentaux avec le centre Viasna. Nina Labkovich, qui avait été arrêtée avec eux, a été relâchée le 23 juillet. Leur mise en accusation s’inscrit dans une campagne répressive à l’égard de la société civile et des militant·e·s en faveur des droits humains, qui perdure depuis les manifestations post-électorales d’août 2020. Ils n’ont commis aucune infraction et doivent être immédiatement remis en liberté. -
Bélarus Un an après une élection contestée, aucune perspective de justice
Dans le sillage de l’élection présidentielle largement contestée de 2020, les autorités du Bélarus ont mis en œuvre une campagne de représailles violente contre la dissidence et ont commis toute une série de violations des droits humains et de crimes de droit international à l’encontre de la population du Bélarus, a déclaré Amnesty International à l’occasion du premier anniversaire de cette élection. -
Bélarus Le journaliste appréhendé après un atterrissage d’urgence doit être libéré immédiatement
Les autorités bélarussiennes ont interpellé Raman Pratasevich, ancien rédacteur en chef de NEXTA, chaîne Telegram d’opposition populaire, après avoir obligé l’avion à bord duquel il se trouvait à atterrir en urgence à Minsk. Amnesty International demande la libération immédiate du journaliste. -
Bélarus Les femmes en première ligne de la lutte pour les droits humains
Des femmes ayant joué un rôle prépondérant dans les manifestations au Bélarus sont la cible de représailles et de menaces, a déclaré Amnesty International lundi 8 mars. -
Bélarus La scène culturelle en péril
La vibrante scène culturelle du Bélarus est étouffée par la répression brutale de la dissidence, les autorités détenant et torturant arbitrairement des artistes, des musiciens, des écrivains et des acteurs, et forçant d'autres personnes à quitter leur emploi, a dénoncé Amnesty International.
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