2021
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Bélarus/Pologne Violence brutale et refoulements tolérés par l’UE
Les demandeurs·euses d'asile et les migrant·e·s qui tentent d'entrer dans l'Union européenne depuis le Bélarus font l'objet de refoulements et de graves violations des droits humains à la frontière polonaise. Ces personnes sont soumises à des actes de torture et des mauvais traitements, à des extorsions et à d'autres abus aux mains des forces biélorusses. -
Bélarus / Mikita Zalatarou La police maltraite un adolescent en détention
Mikita Zalatarou avait 16 ans lorsque la police l'a arrêté, battu et lui a infligé des décharges électriques. L'accusation : il aurait jeté un cocktail Molotov sur deux officiers de police. Pour cela, un tribunal l'a condamné à 5 ans de prison. -
Le Marathon des lettres fête ses 20 ans
L’édition 2021 du Marathon des lettres qui débute ce 19 novembre marque les 20 ans de cette initiative. Depuis 2001, Amnesty International a recueilli des millions de messages de soutien adressés à des personnes injustement incarcérées ou persécutées, comme la journaliste citoyenne Zhang Zhan, détenue en Chine pour son travail sur l’épidémie de COVID-19 à Wuhan, qui compte parmi les cas marquants de cette édition. -
Afghanistan Les Afghan·e·s disposent de peu d’itinéraires pour se mettre en sécurité
Près de deux mois après la fin des opérations d’évacuation par pont aérien en Afghanistan, celles et ceux qui sont restés sur place doivent surmonter d’énormes obstacles pour se mettre en sécurité à l’étranger, a déclaré Amnesty International le 21 octobre 2021. -
Bélarus Il faut libérer les membres de Viasna
Un an après le début de la répression, plusieurs organisations de défense des droits humains lancent une campagne afin de demander la libération des membres de Viasna -
Action lettre terminée / Bélarus Maintien en détention de défenseurs des droits humains
Ales Bialiatski, Valyantsin Stefanovich et Uladzimir Labkovich, défenseurs bélarussiens des droits humains, sont maintenus en détention provisoire et poursuivis pour des infractions en relation avec leur travail en faveur des droits fondamentaux avec le centre Viasna. Nina Labkovich, qui avait été arrêtée avec eux, a été relâchée le 23 juillet. Leur mise en accusation s’inscrit dans une campagne répressive à l’égard de la société civile et des militant·e·s en faveur des droits humains, qui perdure depuis les manifestations post-électorales d’août 2020. Ils n’ont commis aucune infraction et doivent être immédiatement remis en liberté. -
Bélarus Un an après une élection contestée, aucune perspective de justice
Dans le sillage de l’élection présidentielle largement contestée de 2020, les autorités du Bélarus ont mis en œuvre une campagne de représailles violente contre la dissidence et ont commis toute une série de violations des droits humains et de crimes de droit international à l’encontre de la population du Bélarus, a déclaré Amnesty International à l’occasion du premier anniversaire de cette élection. -
Bélarus Le journaliste appréhendé après un atterrissage d’urgence doit être libéré immédiatement
Les autorités bélarussiennes ont interpellé Raman Pratasevich, ancien rédacteur en chef de NEXTA, chaîne Telegram d’opposition populaire, après avoir obligé l’avion à bord duquel il se trouvait à atterrir en urgence à Minsk. Amnesty International demande la libération immédiate du journaliste. -
Bélarus Les femmes en première ligne de la lutte pour les droits humains
Des femmes ayant joué un rôle prépondérant dans les manifestations au Bélarus sont la cible de représailles et de menaces, a déclaré Amnesty International lundi 8 mars. -
Bélarus La scène culturelle en péril
La vibrante scène culturelle du Bélarus est étouffée par la répression brutale de la dissidence, les autorités détenant et torturant arbitrairement des artistes, des musiciens, des écrivains et des acteurs, et forçant d'autres personnes à quitter leur emploi, a dénoncé Amnesty International. -
Bélarus Torture à large échelle: Amnesty demande le recours à la justice internationale
Les autorités bélarussiennes utilisent le système de justice afin de punir les victimes de torture plutôt que leurs tortionnaires, dans le contexte d’une répression brutale contre l’opposition à la suite des manifestations post-électorales. Amnesty International demande à la communauté internationale de prendre des mesures afin que les responsables présumés soient amenés à rendre des comptes.