2020
-
Europe et Asie centrale
Les attaques contre le système judiciaire, la restriction des droits fondamentaux, les violences policières en réponse aux protestations et l'intimidation des défenseur·e·s des droits humains et des membres de l'opposition ne représentent qu’une partie des problèmes liés aux droits humains en Europe. Ils se mani-festent avec une intensité variable selon les pays. Un autre défi pour l'Europe en matière de droits hu-mains est de répartir équitablement les personnes qui fuient la violence et la misère entre les pays du continent. Au lieu de cela, la responsabilité est confiée à des pays dans lesquels celles et ceux qui cherchent de l'aide sont menacé·e·s de traitements inhumains. -
Malte Des méthodes illégales accentuent les souffrances des migrant·e·s en Méditerranée centrale
Le gouvernement maltais recourt à des mesures dangereuses et illégales pour gérer l’arrivée des réfugié·e·s et des migrant·e·s par la mer, ce qui expose de très nombreuses personnes à de grandes souffrances et met leur vie en péril. -
Italie: Action lettre terminée pour les «10 du Iuventa» Arrêter la criminalisation de sauvetage
En août 2017, avec la saisie du navire Iuventa par les autorités italiennes, a démarré une enquête longue et complexe contre les 10 membres de l’équipage. Cela fait près de trois ans qu'ils attendent les conclusions de l’enquête, sans avoir été formellement inculpés. -
Action lettre terminée Mettre fin à l'enquête contre l'équipage du Iuventa 10
Le Iuventa 10 est un groupe de sauveteurs et sauveteuses volontaires constitué par des capitaines, des ambulanciers, des pompiers, des étudiants, un astrophysicien et des développeurs informatiques. Ils ont choisi d'être des témoins, des reporters, et d'utiliser leur privilège pour sauver des vies en Méditerranée centrale. Aujourd'hui, ils risquent jusqu'à 20 ans de prison en Italie pour avoir sauvé plus de 14'000 personnes de la noyade. -
Action lettre terminée - Italie L’équipage d’un navire de sauvetage risque 20 ans de prison
Les «10 du Iuventa» ont sauvé plus de 14'000 migrant·e·s avant la mise sous séquestre du navire il y a trois ans. Accusés de trafic illicite, ils risquent jusqu'à 20 ans de prison. Amnesty International lance une action mondiale de solidarité.
Page 1 sur 2