Dans le cadre du Marathon des lettres 2013, Amnesty s’est engagée pour la libération d’Akimenkov et deux de ses collègues, surnommés les «trois détenus de Bolotnaïa». Le président Poutine a également annoncé la grâce de Mikhaïl Khodorkovski.
Néanmoins, de nombreux prisonniers∙ères d'opinion - dont un grand nombre en lien avec la manifestation qui a eu lieu en mai 2012 sur la place Bolotnaïa – continuent à être détenu∙e∙s illégalement. Cette loi d’amnistie ne peut pas se substituer à un système judiciaire efficace et indépendant.