2010
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Suisses détenus en Libye Anxiété avant les jugements
Au cours des prochains jours, d’autres jugements vont tomber dans les procès contre Max Göldi et Rachid Hamdani. Amnesty International attend que ces procédures judiciaires soient soldées par des acqu -
Augmentons les chances pour les victimes de persécutions liées au genre
Pétition pour demander que le parlement inclue les persécutions liées à l’orientation sexuelle dans la loi sur l'asile en tant que motif pour le droit à l'asile. -
Libye Un procès politique qui bafoue le droit à une procédure équitable
Le premier procès intenté à Max Göldi et Rachid Hamdani n'a pas respecté les exigences d'une procédure équitable, il s'agit d'un procès motivé par des raisons politiques. Amnesty International aboutit à cette conclusion après avoir analysé le jugement et en se basant sur les informations dont elle dispose sur le déroulement de la procédure. Un second procès intenté contre les deux Suisses retenus en Libye aura lieu les 19 et 20 décembre et non le 15 décembre, comme l'avaient annoncé des sources libyennes. Divers indices montrent déjà que cette deuxième procédure ne respectera pas les règles de l'équité. Aucun acte d'accusation n'a été délivré à ce jour. Si aucun motif d'accusation substantiel n'est avancé, les deux Suisses doivent être immédiatement autorisés à quitter la Libye. -
L'Europe forteresse La Suisse pas en reste
Depuis quelques années, les Etats européens mènent une politique migratoire de plus en plus restrictive. Susin Park dirige le bureau de coordination du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) pour la Suisse et le Liechtenstein. Eclairage sur le manque d’harmonisation entre les pratiques et sur le rôle de la Suisse. -
Renvoi des étrangers criminels Amnesty International demande l'invalidation de l'initiative
La Section suisse d'Amnesty International attend du Conseil des Etats qu'il invalide demain l'initiative de l'UDC «pour le renvoi des étrangers criminels». Les sénateurs doivent retenir la leçon de l'initiative sur les minarets et renoncer à soumettre au vote populaire un texte clairement contraire à plusieurs normes du droit international et incompatible avec la Constitution fédérale. Amnesty International estime que le droit en vigueur est largement suffisant pour lutter contre les abus et préserver la sécurité des citoyennes et citoyens.
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