«Il est scandaleux que la Suisse fasse passer les intérêts économiques avant la protection des droits humains. Avec cette décision nous mettons en danger la réputation de notre pays et son rôle de pionnier en matière de droits humains. L'industrie de l'armement peut à présent livrer du matériel de guerre à des pays comme l'Arabie saoudite ou le Pakistan, où la possibilité existe que des droits humains soient violés avec ces armes. C'est honteux.», a déclaré Alain Bovard, lobbyiste et expert sur l’armement à la Section suisse d’Amnesty International.
Communiqué de presse publié le 6 mars 2014, Berne, Lausanne.
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