Documents
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Arrestation du maire d’Istanbul La répression s’intensifie en Turquie
Plus de 100 personnes, dont le maire d’Istanbul, ont été arrêtées dans le cadre d’enquêtes liées à la «corruption» et au «terrorisme» en Turquie. En outre le gouvernement a prononcé une interdiction générale des manifestations pendant quatre jours et des restrictions de bande passante ont été signalées sur X, YouTube, Instagram et TikTok. -
Turquie – Action lettre terminée / Good News Une défenseure des droits humains a été libérée
Le 4 mars 2025, la défenseure des droits humains Nimet Tanrıkulu a été libérée de prison à la suite de la décision provisoire prise par la cour pénale spéciale n° 24 d'Istanbul lors de la première audience de son procès. La cour lui a imposé une interdiction de voyager, assortie d’obligations de se présenter. -
Turquie Acquittement de Taner Kılıç au milieu d'une nouvelle vague de répression
Taner Kılıç est acquitté après une procédure judiciaire de près de huit ans. Son cas illustre les tentatives des autorités turques de criminaliser les défenseur·e·s des droits humains. -
Opinion Sous l'épée de Damoclès
En Turquie, une mobilisation des journalistes et des défenseur·e·x·s des droits humains a permis d'étouffer dans l'oeuf un projet de loi liberticide, se réjouit Ruhat Sena Akşener*. -
Émirats arabes unis – Action lettre Un poète égypto-turc victime d’une disparition forcée
Le poète égypto-turc Abdul Rahman Al Qaradawi est victime d’une disparition forcée depuis qu’il a été extradé du Liban vers les Émirats arabes unis le 8 janvier 2025. Abdul Rahman Al Qaradawi a été interpellé le 28 décembre par les forces de sécurité libanaises au poste-frontière de Masnaa entre le Liban et la Syrie. Les autorités libanaises ont accepté la demande d’extradition des autorités émiriennes pour des accusations de «fausses nouvelles» et d’«atteinte à la sécurité publique», en lien avec une vidéo qu’il a postée sur les plateformes de réseaux sociaux pendant qu’il se trouvait en Syrie, critiquant les autorités égyptiennes, émiriennes et saoudiennes. Les inquiétudes quant à son état de santé et à son bien-être se font vives, car sa famille n’a pas réussi à obtenir d’informations sur son sort, le lieu exact où il se trouve ou sa situation juridique. En outre, les autorités turques n’ont pas pu lui rendre de visite consulaire. -
Turquie (Erythrée) – Action lettre / Délai expiré Des érythréen·ne·s risquent d’être renvoyés de force de manière imminente
Des centaines de ressortissants érythréens risquent à tout moment d'être renvoyés de force en Érythrée, où ils pourraient vraisemblablement être torturés, placés en détention arbitraire ou subir d’autres graves violations des droits humains. Selon certaines informations, 300 Érythréen·ne·s récemment arrêtés en Turquie, privés d’un accès adéquat à des moyens de communication et à une assistance juridique, ont été expulsés vers l’Érythrée. Les autorités doivent immédiatement suspendre l’expulsion forcée d’Érythréen·ne·s depuis la Turquie et leur donner la possibilité de demander l’asile, conformément au droit international. -
Soudan L’importation d'armes étrangères alimente les souffrances des civil·e·s dans les conflits – nouvelle enquête
Le conflit au Soudan est alimenté par un afflux constant d'armes dans le pays, souligne Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Instrumentalisation des médias La juste distance
Chaque aide est la bienvenue au cours d’un reportage à l’étranger. Mais comment conserver son indépendance et son impartialité face aux personnes qui vous accueillent ? -
Action lettre: Serbie / Délai expiré Un militant politique en grève de la faim
Depuis juin 2021, Ecevit Piroğlu, militant politique turc, est détenu de manière illégale et arbitraire dans un centre de détention pour migrants en Serbie, et risque d’être expulsé vers la Turquie, en dépit de la décision d’un tribunal serbe ordonnant qu’il ne soit pas expulsé. Le 12 février, il a entamé une grève de la faim pour protester contre son maintien en détention au centre de Padinska Skela, et a déclaré son intention de la poursuivre jusqu’à sa libération. -
Good News Les victoires qui ont marqué 2023
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Découvrez comment Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Action lettre: Turquie / Action terminée Il faut ouvrir toute la place Galatasaray
Le 11 novembre, après plus de cinq ans d’interdiction, 10 représentant·e·s des Mères du samedi, un groupe de parents de victimes de disparitions forcées et d’autres défenseur·e·s des droits humains, ont été autorisés à lire une courte déclaration devant le lycée Galatasaray, près de la place Galatasaray, à Istanbul, en Turquie. La place Galatasaray a une importance symbolique pour ce groupe. Cette évolution positive est la bienvenue, mais elle ne va pas assez loin, à savoir la mise en œuvre complète des décisions de la Cour constitutionnelle selon lesquelles les droits des requérant·e·s à la liberté de réunion pacifique ont été bafoués et les autorités doivent empêcher que cette violation ne se reproduise. -
Good News Six mois de victoires pour les droits humains
Changer des vies, modifier des lois et protéger les droits humains... Amnesty International et ses soutiens ont accumulé les succès depuis le début de l’année ! -
Turquie: Action lettre pour les «Mères du samedi» / Action terminée Rassemblements de commémoration des victimes de disparition forcée interdits
Depuis le milieu des années 1990, les «Mères du samedi» organisent des manifestations silencieuses pacifiques pour dénoncer la disparition forcée de membres de leur famille. Le groupe est poursuivi en vertu de la loi sur les rassemblements et les manifestations. -
Turquie Justice est enfin rendue
Les condamnations de quatre défenseur·e·x·s des droits humains, dont Taner Kılıç, président honoraire d’Amnesty Turquie, et İdil Eser, ancienne directrice d’Amnesty Turquie, sont annulées. -
Turquie La réponse humanitaire aux séismes néglige les personnes en situation de handicap
Les personnes porteuses de handicap qui vivent dans des camps pour personnes déplacées à la suite des séismes dévastateurs en Turquie ne sont pas prises en compte dans la réponse humanitaire à cette catastrophe. C'est ce que révèle un rapport d'Amnesty International paru le 27 avril. -
Turquie Abus des forces de l'ordre dans la zone touchée par les séismes
Des responsables de l’application des lois déployés afin d’assurer le maintien de l’ordre dans la région de Turquie dévastée par les tremblements de terre du 6 février, ont frappé et torturé des personnes qu’ils soupçonnaient de vol et de pillage. Une personne est morte en détention après avoir été torturée. Dans plusieurs cas, des responsables de l’application des lois ne sont pas intervenus afin d’empêcher des individus d’agresser violemment d’autres personnes qu’ils soupçonnaient de crimes. -
Turquie Espoir d'acquittement
La cour pénale spéciale n° 35 d'Istanbul examine le cas de quatre défenseur·e·s des droits humains, après que la Cour de cassation a annulé leur condamnation en première instance. Une délégation d’Amnesty International comprenant des membres du Bureau exécutif international et d’Amnesty Allemagne assiste au procès. -
Syrie/Turquie Les droits humains doivent être «au cœur de la réponse» aux séismes
La crise humanitaire résultant des tremblements de terre catastrophiques en Syrie et en Turquie a entraîné une détérioration de la situation des droits humains dans ces deux pays. C'est la conclusion à laquelle parvient Amnesty International dans un nouveau rapport sur les obligations en matière de droits humains dans le cadre de l'aide en cas de catastrophe. -
Syrie/Turquie Séismes: la communauté internationale doit réagir
Lundi 6 février au matin, des tremblements de terre catastrophiques ont touché la Turquie et la Syrie. Des centaines de milliers de personnes sont concernées, dont des habitant·e·x·s de régions déjà fragilisées par la guerre. -
Afghanistan Des hommes, des femmes et des enfants accueillis par des tirs à la frontière iranienne
Les forces de sécurité de l’Iran et de la Turquie ont renvoyé de force des Afghan·e·s qui tentaient de franchir les frontières de ces pays afin de se mettre en sécurité, notamment en ouvrant illégalement le feu sur des hommes, des femmes et des enfants. Les Afghan·e·s parvenus à entrer en Iran ou en Turquie sont régulièrement soumis à des détentions arbitraires, ainsi qu’à des actes de torture avant d’être illégalement renvoyés de force.
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