2020
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Turquie Trois ans de prison pour avoir participé à la marche des fiertés?
De grandes organisations de défense des droits humains joignent leurs forces pour réclamer l’acquittement de 19 défenseur·e·s des droits humains inculpés d’avoir participé à une marche des fiertés en 2019, à la veille du jugement attendu jeudi 10 décembre 2020. Amnesty soutient les accusé·e·s avec le marathon des lettres de cette année. -
Europe et Asie centrale
Les attaques contre le système judiciaire, la restriction des droits fondamentaux, les violences policières en réponse aux protestations et l'intimidation des défenseur·e·s des droits humains et des membres de l'opposition ne représentent qu’une partie des problèmes liés aux droits humains en Europe. Ils se mani-festent avec une intensité variable selon les pays. Un autre défi pour l'Europe en matière de droits hu-mains est de répartir équitablement les personnes qui fuient la violence et la misère entre les pays du continent. Au lieu de cela, la responsabilité est confiée à des pays dans lesquels celles et ceux qui cherchent de l'aide sont menacé·e·s de traitements inhumains. -
Turquie Abandonner les poursuites contre Melike Balkan et Özgür Gür
Depuis le début de leurs études, Melike Balkan et Özgür Gür défendent les droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées (LGBTI*) au sein de leur université. En tant que membres du groupe de solidarité LGBTI*, ces deux personnes organisent avec succès depuis des années des marches des fiertés sur le campus. Mais en mai 2019, l’université a interdit la marche prévue et appelé la police pour disperser un sit-in pacifique. Alors qu’ils/elles ne faisaient qu’exercer leur droit de manifester pacifiquement, ils/elles font aujourd’hui l’objet de poursuites. Dites à la Turquie d’abandonner toutes les charges retenues contre ces personnes! -
Melike Balkan et Özgür Gür, TURQUIE Poursuivis pour avoir célébré les droits des LGBTI*
Militants d’une marche des fiertés universitaire, Melike Balkan et Özgür Gür sont aujourd'hui poursuivis par les autorités turques. Ces deux personnes n'ont fait qu'exercer leur droit de manifester pacifiquement et risquent pourtant jusqu'à 3 ans de prison. -
Crise du coronarivus Malgré la menace, des défenseur·e·s des droits humains croupissent en prison
Des gouvernements qui ont été loués pour avoir relâché des prisonnières et des prisonniers en raison de l’épidémie de COVID-19 sur leur territoire, ont exclu les défenseur·e·s des droits humains de ces mesures et continuent de procéder à de nouvelles arrestations de militant·e·s, de journalistes et d’opposant·e·s.
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