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Sommet sur l'Ukraine Une occasion de résister aux tentatives d'affaiblir l'ordre juridique mondial
Au lendemain de l'annonce d'une trêve négociée par les États-Unis, des dirigeants du monde entier se réuniront à Paris jeudi 27 mars pour un sommet aux enjeux considérables sur la sécurité de l'Ukraine et pour jeter les bases de garanties de sécurité à long terme. -
Mauvais traitements des prisonniers Ukrainiens en Russie Des possibles crimes de guerre et crimes contre l’humanité
Les autorités russes soumettent des prisonniers de guerre et des captifs civils ukrainiens à des actes de torture, des détentions au secret prolongées, des disparitions forcées et des traitements inhumains. Ces pratiques s’apparentent à des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport publié le 4 mars 2025. -
Russie (territoire ukrainien occupé) – Action lettre La vie d'un prisonnier de guerre blessé en danger
Infirmier de combat, Artem Kolomiiets a été fait prisonnier de guerre en mai 2022 pendant le siège de Marioupol. Son état de santé est critique et sa vie est en danger en raison d’actes de torture et d’autres mauvais traitements lui ayant été infligés, ainsi que du refus de lui fournir une aide médicale adéquate. Il est détenu au secret. Ce prisonnier de guerre gravement malade doit être immédiatement rapatrié en Ukraine ou hébergé dans un pays neutre pour des raisons de santé. -
Ukraine/Russie La justice pour les victimes doit être une priorité mondiale
À l’approche du troisième anniversaire du début de l’invasion massive de l’Ukraine par la Russie et alors que s’ouvrent des négociations de paix entre les États-Unis et la Russie, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a déclaré : -
Russie (territoire ukrainien occupé) – Action lettre Une enseignante en crèche ukrainienne incarcérée par la Russie
Olha Baranevska, enseignante en crèche à la retraite, ouvertement pro-ukrainienne originaire de Melitopol, a refusé de retourner travailler à la crèche sous l’occupation russe. En mai 2024, elle a été enlevée par les autorités d’occupation à son domicile et aurait été torturée. Un mois plus tard, elle a été brièvement libérée pour être de nouveau arrêtée de manière arbitraire et condamnée à deux reprises à 14 jours de «détention administrative» avant d’être accusée d’avoir caché des explosifs dans son jardin et condamnée à six ans de prison. Pendant ce temps, sa mère âgée est décédée, et la santé d’Olha Baranevska est en péril. -
Réconciliation Héritage paradoxal
Le démantèlement des monuments soviétiques dans l’espace public s’intensifie en Ukraine, surtout depuis 2022. Mais des voix ukrainiennes s’élèvent pour préserver cette partie de leur histoire. -
Opinion S'opposer au silence
Veronika Velch est devenue directrice d'Amnesty Ukraine en avril de cette année, au milieu d'une guerre dont on ne voit pas le bout, qui ravage son pays, et où les droits humains sont quotidiennement violés. -
(Ré)apprendre à vivre ensemble Sommaire
Qu’elles soient causées par un conflit ou alimentées par des injustices, les divisions sont toujours difficiles à surmonter. Et il n’existe pas de recette miracle applicable partout : il est indispensable de tenir compte du contexte et du vécu des communautés concernées pour bâtir les fondations d’un nouveau vivre-ensemble. Mais surtout, les ponts jetés sur les anciennes divisions sont vulnérables. Car il suffit parfois de peu pour que le fragile procédé de réconciliation se grippe. -
Ukraine Les frappes russes continuent de tuer et blesser des enfants
Dans une déclaration publiée le 18 novembre 2024, Amnesty International met en lumière la terrible situation des enfants en Ukraine, qui continuent de se faire tuer ou blesser par les frappes aériennes russes, y compris lors d’attaques s’apparentant à des crimes de guerre. -
Ukraine / Russie Propagande d'État russe au programme des classes ukrainiennes
Les enseignant·e·x·s dans les territoires occupés par la Russie sont contraint·e·x·s sous la menace et la violence d’enseigner le programme d'État russe. -
Ukraine / Russie Les ravages causés par les mines antipersonnel laissées par les forces russes
Le territoire ukrainien est désormais jonché de mines antipersonnel laissées par les forces russes derrière elles. En 2022, les mines terrestres auraient fait plus de 600 morts. Amnesty demande l'ouverture d'une enquête minutieuse, indépendante et impartiale pour crimes de guerre. -
Russie (Crimée occupée) – Action lettre / Délai expiré Libérez un défenseur des droits humains pour raisons médicales
Tofik Abdoulgaziev, militant des droits humains de Crimée condamné à 12 ans d’emprisonnement pour des raisons politiques en Russie, a été hospitalisé dans un état critique en mars 2024. Il a perdu 15kg et a reçu un diagnostic de tuberculose, de pneumonie et d’autres affections mettant sa vie en danger. Il doit être libéré immédiatement. -
Mandats d'arrêt délivrés par la CPI à l'encontre de hauts responsables russes Une étape cruciale sur la voie de la justice
Amnesty International salue la volonté de la Cour pénale internationale de poursuivre deux hauts-responsables russes pour des faits relevant de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. -
Russie Les prisonniers anti-guerres privés de tout contact avec leur famille
Les autorités russes refusent systématiquement aux détracteurs et détractrices du gouvernement emprisonné·e·s arbitrairement tout contact avec leurs familles, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Suisse / Ukraine Poutine en Suisse pour de nouveaux pourparlers de paix sur l’Ukraine ?
Dimanche, à la fin de la conférence sur l'Ukraine au Bürgenstock, les conseillers fédéraux Viola Amherd et Ignazio Cassis ont déclaré aux médias qu'une participation de Vladimir Poutine à de nouveaux pourparlers de paix sur l’Ukraine en Suisse était envisageable. La section suisse d'Amnesty International commente ces déclarations comme suit : -
Russie/Ukraine Placer les droits humains au cœur des réunions sur la paix et la reconstruction
Deux conférences sur la paix et la reconstruction en Ukraine ont lieu les 11 et 12 juin à Berlin et les 15 et 16 juin au Bürgenstock dans le canton de Nidwald. Les droits humains, la justice pour les victimes de violations et la voix des groupes de la société civile doivent être au cœur de ces deux sommets. Au-delà de l’effort lié à l’organisation de l’une de ces conférences, la Suisse doit faciliter l’intégration des réfugié·e·s ukrainien·ne·s et participer à l’effort de justice par le biais de la compétence universelle. -
Russie/Ukraine Une décennie de répression des identités non russes en Crimée occupée
Depuis le début de l’occupation de la Crimée, il y a dix ans, la Russie cherche à modifier la composition ethnique de la péninsule et à réduire au silence les communautés ukrainienne et tatare de Crimée, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport à l’occasion du dixième anniversaire de l’annexion illégale de cette péninsule ukrainienne par la Russie. -
Ukraine Traduire en justice les responsables de tous les crimes depuis 2014
Il ne saurait y avoir de justice pour les Ukrainien·ne·s sans que les responsables des crimes commis par la Russie depuis son intervention militaire en 2014 ne soient amenés à rendre des comptes, a déclaré Amnesty International jeudi 22 février, à l’occasion du deuxième anniversaire de l’invasion générale de l’Ukraine par la Russie. -
Action lettre: Russie / Action terminée Un ressortissant espagnol victime d’une disparition forcée
Mariano García Calatayud, bénévole humanitaire espagnol âgé de 75 ans est victime d’une disparition forcée entre les mains des autorités russes, qui l’ont enlevé en 2022 dans la ville occupée de Kherson, en Ukraine. Il a été détenu au secret sans inculpation, en Crimée occupée. Le dernier colis commandé pour lui en septembre via le système en ligne des services pénitentiaires a été retourné accompagné d'une note indiquant qu’il ne figurait pas parmi les détenus. Les autorités russes assurent désormais qu’elles ignorent où il se trouve et qu’il a «quitté la Crimée» le 1er juin 2023. Les craintes sont vives pour sa vie et son intégrité physique et mentale. -
Ukraine/Russie L’avenir des enfants menacé par l’agression russe en Ukraine
Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, ceux qui vivent sous occupation russe risquent des représailles violentes s’ils cherchent à poursuivre une scolarité ukrainienne, certains parents préférant cacher leurs enfants pour éviter qu’ils ne soient conduits dans des institutions de « rééducation », emmenés pour adoption en Russie ou inscrits de force dans des écoles qui enseignent le programme russe.
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