2017
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Bahreïn Ebtisam al Saegh libérée sous conditions
Le 22 octobre, la militante des droits humains bahreïnite Ebtisam al Saegh a été libérée du centre de détention pour femmes Isa Town à Manama, la capitale de Bahreïn. Elle n’a jusqu’à présent reçu aucune information sur les éventuelles conditions de sa libération et sur l’état de la procédure judiciaire engagée contre elle. Elle risque donc toujours d’être réincarcérée. -
La défenseuse des droits humains Ebtisam al-Saegh doit être libérée
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Liberté pour Ebtisam al-Saegh
Ebtisam al Saegh est en prison parce qu'elle défend les droits humains au Bahreïn. -
Bahreïn Violente répression de la dissidence depuis un an
Le nouveau rapport d’Amnesty International dévoile les méthodes répressives utilisées par le gouvernement bahreïnite au cours de l'année écoulée pour écraser la société civile et réprimer avec violence les manifestations. La répression s'est traduite par la mort de six personnes, dont un enfant. -
Tensions entre les pays du Golfe et le Qatar Familles déchirées et dignité humaine bafouée
Les nouvelles mesures arbitraires annoncées par l'Arabie saoudite, Bahreïn et les Émirats arabes unis (ÉAU) dans le cadre des tensions les opposant au Qatar sont entrées en vigueur le 19 juin. Des milliers de personnes risquent de voir leur vie bouleversée et leur famille séparée. -
Militantisme Niveau inquiétant d'attaques contre les défenseurs des droits humains
Partout dans le monde, des membres influents de la société civile, des avocats, des journalistes et d'autres défenseurs des droits humains sont victimes de persécutions, de manœuvres d'intimidation et de violences d'un niveau sans précédent, a alerté Amnesty International le 16 mai 2017 lors du lancement de sa nouvelle campagne mondiale demandant l'arrêt des attaques contre les défenseurs des droits humains. -
Bahreïn La crise des droits humains est imminente
Les autorités bahreïnites doivent commuer immédiatement la peine capitale des deux hommes sur le point d'être exécutés. Amnesty International a mis en garde les autorités contre leur réaction sévère aux manifestations contre les trois exécutions par peloton d'exécution du 15 janvier 2017, qui risque de plonger le pays dans une grave crise en matière de droits humains.