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Égypte: Action lettre pour Anas al Beltagy / Action terminée Détenu arbitrairement depuis une décennie
Anas al Beltagy est actuellement détenu au secret dans le complexe carcéral de Badr, à environ 70 km à l’est du Caire. Il est en prison depuis plus de neuf ans en raison de ses liens familiaux. Il risque d’être soumis à la torture et à d’autres mauvais traitements. Anas al Beltagy doit être libéré immédiatement et sans condition. -
Action lettre – Egypte / Action terminée Un militant en danger de mort imminent
Le militant Alaa Abdel Fattah est en danger de mort imminent. Il a intensifié sa grève de la faim en refusant tout apport calorique et cessant de boire de l’eau à partir du 6 novembre, date à laquelle débute la Conférence des Nations unies sur le changement climatique. Lui-même et sa famille considèrent qu’il s’agit de l’ultime mesure pour obtenir sa libération. -
Égypte COP27: L'Égypte doit aussi respecter les droits humains
A l'occasion de la Conférence de l'ONU sur les changements climatiques (COP27) qui s'est ouverte le 6 octobre à Charm el-Cheikh, la secrétaire générale d'Amnesty International Agnès Callamard a fait le voyage pour rappeler à l'Égypte ses obligations en matière de droits humains. -
Égypte La crise des droits humains s’aggrave
Les autorités égyptiennes n’ont pour l’instant pas fait preuve d’une véritable volonté de reconnaître, encore moins de combattre, la profonde crise des droits humains que connaît le pays malgré le lancement il y a un an d’une stratégie nationale en matière de droits humains. Elles ont continué à étouffer les libertés et à commettre des crimes au regard du droit international, en amont de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP27). -
Action lettre terminée – Égypte Deux érythréens risquent d’être expulsés
Deux ressortissants érythréens sont détenus de manière arbitraire sans aucun fondement légal et sans avoir accès à une procédure d’asile en Égypte depuis 2012 et 2013. Tous deux pourraient être renvoyés de force en Érythrée, où ils risquent d’être placés en détention arbitraire et torturés. Les autorités égyptiennes doivent immédiatement renoncer à les renvoyer de force en Érythrée et les libérer. -
Action lettre terminée / Égypte Deux influenceuses incarcérées pour «atteinte aux bonnes mœurs»
Le 20 juin dernier, le tribunal pénal du Caire a déclaré les influenceuses égyptiennes Hanin Hossam et Mawada el Adham coupables et les a condamnées à de lourdes peines de prison pour incitation à des contenus «indécents», traite d’êtres humains et autres infractions. Amnesty International estime que ces jeunes femmes sont sanctionnées en raison de la manière dont elles dansent, parlent, s’habillent et tentent d’«influencer» le public sur les réseaux sociaux et demande leur libération immédiate. -
Égypte: Action lettre terminée pour Ibrahim Ezz el Din Préoccupations pour la santé d'un prisonnier d'opinion
Ibrahim Ezz el Din, est détenu de façon arbitraire depuis juin 2019. Amnesty International le considère comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement en raison de ses activités en faveur des droits humains. La santé d'Ibrahim Ezz el Din s'est détériorée en prison. -
Égypte Les droits humains foulés aux pieds dans les prisons
Les autorités pénitentiaires égyptiennes soumettent des personnes incarcérées pour délit d'opinion ou pour des motifs politiques à des actes de torture et à des conditions de détention cruelles et inhumaines. Torture, mauvais traitements et refus de dispenser des soins médicaux ont contribué à des morts en détention et à des atteintes irréversibles à la santé de détenus. -
Répression en Égypte La diplomatie suisse doit faire preuve de courage
Amnesty International salue la libération des trois militants des droits humains, qui avaient été arbitrairement arrêtés en Égypte en lien avec une rencontre à laquelle participait un diplomate suisse. L’organisation exige que la diplomatie suisse assume ses responsabilités et continue à s’engager, ce également publiquement, pour la sécurité et les droits de ses partenaires. -
Action lettre terminée - Égypte Répression contre l'Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR)
Entre le 15 et le 19 novembre 2020, les forces de sécurité égyptiennes ont arrêté Mohamed Basheer, Karim Ennarah et Gasser Abdel-Razek, cadres du personnel de l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), une ONG égyptienne indépendante de défense des droits humains. Ils sont maintenus en détention arbitraire dans l’attente des conclusions d’enquêtes sur des accusations infondées, notamment de «terrorisme», engagées uniquement à titre de représailles pour le travail de défense des droits humains de l’EIPR. -
Égypte Mettre fin aux représailles contre les organisations de défense des droits humains
Les autorités égyptiennes doivent mettre fin à la campagne de représailles visant l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR) et libérer immédiatement et sans condition trois dirigeants du groupe détenus de manière arbitraire, a déclaré Amnesty International le 20 novembre 2020. -
Égypte Stop au harcèlement contre le personnel de santé
Face à la pandémie de coronavirus, les travailleurs et travailleuses de la santé ont besoin de soutien, et non de harcèlement. -
Égypte / Crise du coronavirus Le personnel de santé confronté à un choix impossible: «la mort ou la prison»
Les autorités égyptiennes doivent immédiatement mettre fin à leur campagne de harcèlement et d’intimidation contre les professionnel·le·s de santé en première ligne du combat contre la pandémie de COVID-19 qui expriment des inquiétudes quant à leur sécurité ou qui critiquent la façon dont le gouvernement gère cette crise. -
Égpte: Action lettre terminée pour Aser Mohamed Arrêté à l’âge de 14 ans, emprisonné depuis des années
Aser Mohamed a été arrêté en 2016 à l’âge de 14 ans. L’étudiant est poursuivi pour une série de charges. Les aveux de l’adolescent ont été obtenus par la torture. Il encourt jusqu’à 15 ans d’emprisonnement. La famille d’Aser Mohamed est sans nouvelles de lui depuis mars 2020. -
Égypte Libérer les prisonniers d'opinion exposés au risque de propagation du coronavirus
Dans le contexte des craintes croissantes concernant la propagation du coronavirus (COVID-19) dans les prisons surpeuplées d’Égypte, les autorités doivent libérer immédiatement et sans condition tous les militant·e·s et défenseur·e·s des droits humains détenus pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions. -
Égyptre: Action lettre terminée pour Mahienour el Masry, Alaa Abdel Fattah et Mohamed el Baqer Libérer des victimes de la vague de répression !
En septembre 2019, Mahienour el Masry, Alaa Abdel Fattah ont été arrêté. Amnesty International considère qu'ils sont détenus uniquement en raison de leur travail en faveur des droits humains et de leur militantisme politique. Leur détention porte atteinte à leur droit à la liberté d’expression. -
Egypte La législation antiterroriste, «sinistre outil de répression»
Dans un nouveau rapport, Amnesty International met au jour le recours abusif à la législation antiterroriste dont se rend régulièrement coupable le bureau égyptien du procureur général de la sûreté de l’État à dessein de poursuivre en justice des milliers de voix critiques pacifiques et de suspendre les garanties d’équité des procès. -
Égypte: Action lettre terminée pour Ibrahim Ezz El Din Mesures de répression contre la société civile pour des activités légitimes
Dans la nuit du 11 juin 2019, des membres des forces de sécurité égyptiennes en civil ont arrêté Ibrahim Ezz El Din, depuis lors porté disparu. -
Egypte Nouvelle vague de violations massives des droits humains
La défenseure des droits humains et journaliste Esraa Abdelfattah a été enlevée, détenue de manière arbitraire et torturée, et ce traitement indique que les autorités égyptiennes montent d’un cran dans la brutalité à l’égard des défenseurs des droits humains, dans le but de «terroriser» leurs détracteurs et leurs opposants, a déclaré Amnesty International. -
Egypte Nouveau projet de loi sur les ONG
Le nouveau projet de loi sur les ONG adopté par le Parlement égyptien le 16 juillet 2019 et destiné à remplacer la loi draconienne sur les ONG de 2017 ne contribuera guère à mettre fin à la répression qui s’abat sur les organisations de défense des droits humains dans le pays depuis quelques années
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